Loft n°22 : Chi Harada

Elle fut surprise d’entendre trait pour trait la même voix sur-aiguë et absolument insupportable de Llewelyn au bout du fil. Elle se doutait que lui aussi, il avait dans sa famille la petite fille qui fait chier son monde, mais Rei était un sacré cas. Décidément. Tout l’monde l’avait celle là. Petite pensée envers sa sœur, chassant bien vite son image de l’esprit.

Elle fut surprise a quel point Akito accepta si vite. Enfin, a priori chez lui aussi y’avait de beau cas. Aussi zarbi que la tante Lucette avec sa perruque rose vif ? Que l’oncle Sam qui vous console de la peine de cœur en vous offrant de la vodka alors que vous avez quatorze ans ? Shin ou le pique assiette ? La mère encore jeune et absolument, totalement délurer ? Et le père psy qui analyse tout ce que tu dis ? Enfin bon, la n’était pas le sujet. Prenant volontiers la mains d’Akito et écoutant les brides de conversation entre son fiancé et sa cousine supposé, elle resta un instant a regarder le vague, puis sortie un trousseau de clé. Puis le tira un peu.

« Alors hum… »

Commença-t-elle gênée, son loft était plus un bordel incompréhensible de fringue et magasine mis en vrac un peu partout qu’autre chose. Prochaine mission, trouver une nouvelle femme de ménage et une nouvelle cuisinière, franchement manger au resto c’était sympa mais bon… Elle soupira, puis il était pas si bordelique que ça. Nan il était même ranger ! Au moins il aurait bonne impression. Ils s’éloignèrent du parc, allant vers les sous sol de tokyo, prendre le metro.

« J’suis vraiment heureuse. Tu peux pas savoir ! En plus j’avais un cadeau a t’offrir. J’espère qu’il te fera plaisir… Je n’imaginais qu’on me demande en mariage… A vrai dire, j’suis pas le type de femme bonne a marier. Je. Je ne sais pas cuisiner, ne parlons pas du ménages… »

Elle soupira puis monta dans le métro talonner par Akito. Le voyage fut ponctuer de : « ELLE EST TROP belle ! » « Trop bien choisi ! » « Elle me va si bien ! » de Chi qui parler de la bague.

Elle s’arrêta trois station après, dans le quartier de Ginza. Après quelque détour de rue etc, ils arrivèrent enfin vers grand immeuble désaffecté, visible très chics. Chi entrant dans l’immeuble composa le code secret qui ouvrit la porte. Direction l’ascenseur, deuxième étage. Chi était toute heureuse, puis enfin, après quelque minute de silence passé dans le grand ascenseur ou Chi en profita pour se remaquiller et se coiffer, la sonnerie indiqua qu’ils étaient arriver. C’est toute sourire qu’elle avança trottinante vers son appartement, le N° 22. Une fois la grande porte métallique ouverte, Chi laissa entrer Akito a sa suite. Prenant sa mains, elle y déposa une clé. Celle de son appartement. Quelque magazine traîner par ci et par là, mais c’était pas le bordel causé habituellement.

« Voilà mon chez moi. C’est un loft normal, bien que plus que la moyenne. Alors hum, ici c’est le salon, et il est directement relier a la cuisine/bar. Si tu montes les escalier en verre il y a un petit salon pour les soirée entre ami avec un mini bar. Les petit escalier la, en face du grand salon mène a ma chambre, la salle de bain et mon bureau… »

Elle se dirigea automatiquement vers la cuisine, ouvris le frigo et en sortie une canette de bière qu’elle btu d’une traite. Elle s’approcha alors d’Akito et lui lanca.

« Fais comme chez toi, vais me changer je reviens. Hum, dit moi, ce soir tu veux manger ici ou au restaurant ? »

Proposa-t-elle. Manger ici se révélerai un véritable parcours du combattant.

« Ou on peux commander ! »

Invité

Lorsqu'il eut raccroché, Akito immagina parfaitemment la mine déconfite et surprise de sa diabolique cousine. Un sourire de joie malsaine s'étira sur son visage pâle. Il la voyait, planté dans sa chambre avec sa musique de bébé en fond sonore. Mais le sourire de jubilation du jeune homme s'effaça bien vite parce-qu'après la surprise venait le sourire sadique d'Ayumi. Il l'immaginait, reposant délicatement le téléphone, et trotinner jusque dans sa chambre à lui. Après, elle mettrait sa chambre à feu et à sang, fouillerait dans ses affaires et découvrirait ses "petits" secrets ! Mais si elle faisait ça, il ne donnerait pas cher sa misérable vie d'enfant gâtée.

En fait, côté famille, Aki était servit : le père drogué et alcolique qui finit ses jours au trou pour abus et violence aggravée sur mineur, sa mère malade mentale s'était suicidée, sa demi-soeur était atteinte d'un brother complex énorme, sa cousine était sadique et exécrable, sa tante était coincée et avide de pouvoir (elle tentait toujours quelque chose contre lui et était toujours vierge à 60 ans !) et son oncle était un dépravé de la pire espèce. Mais on va s'arrêter là parce-que si on cite les 300 personnes de la famille Aizawa on va pas y arriver.

Akito prit la main de Chi et ils sortirent du parc, sous quelques regards étonnés, avide, ou encore, jaloux. Ils s'engagèrent dans les sous-sol de la capitale japonaise afin de prendre le métro. Aki n'amait pas trop prendre le métro. Il n'aimait pas beaucoup la compagnie de ses semblables, les êtres humains, et avait peur de la foule. Il fit un effort considérable pour se contrôler et la présence de Chi l'aidait à surmonter sa phobie.

« J’suis vraiment heureuse. Tu peux pas savoir ! En plus j’avais un cadeau a t’offrir. J’espère qu’il te fera plaisir… Je n’imaginais qu’on me demande en mariage… A vrai dire, j’suis pas le type de femme bonne a marier. Je. Je ne sais pas cuisiner, ne parlons pas du ménages… »

Akito sourit.

Il me tarde de voir ça ! Je suis sûr qu'il me plaira ! Bah... C'est pas grave, je rattraperais ce "défaut" et puis on pourra engager quelqu'un.

Le jeune homme sourit aux exclamations enjouées de Chi. Il étais vraiment ravi d'avoir fait le bon choix ! Après tout, Akito avait du goût. Il était si exeptionnel, si beau, si merveilleux, si intelligent, si... si tout ! Si prétencieux aussi. La modestie ne faisait assurément pas partie de ses qualités !
Le couple s'arrêta à Ginza. Akito fut soulagé de se sortir de ce petit espace où l'on était serré comme des sardines. Ils prirent l'ascenceur d'un immeuble très chic et allèrent jusqu'à 2° étage. Chi s'engouffra dans l'appartement n°22, Aki sur ses talons. Akito promena son regard dans la pièce. C'était moderne, spacieux et un rien "bordélisé".

« Voilà mon chez moi. C’est un loft normal, bien que plus que la moyenne. Alors hum, ici c’est le salon, et il est directement relier a la cuisine/bar. Si tu montes les escalier en verre il y a un petit salon pour les soirée entre ami avec un mini bar. Les petit escalier la, en face du grand salon mène a ma chambre, la salle de bain et mon bureau… »

J'adore ! C'est vraiment très joli ! Très Chic !

Chi se dirigea vers le frigo et lui lança une bière qu'il attrappa au vol.

« Fais comme chez toi, vais me changer je reviens. Hum, dit moi, ce soir tu veux manger ici ou au restaurant ? »

...

« Ou on peux commander ! »

Je préfère commander.

Chi partie dans une autre pièce et le jeune homme s'approcha de l'escalier de verre. Il effleura la rampe du bout des doigts et se dirigea vers le canapé où il s'alongea. Aki but une gorgée de bière en prenant soin de ne rien renverser. Il était vraiment très heureux. Loin de son étouffante famille et près de la femme qu'il aimait. Merveilleux. Akito sourit et but une nouvelle gorgée de bière.

Chi trottina pas mal dans son appartement, puis se dirigea vers sa chambre. Elle farfouilla un peu de partout puis sortit une petit boite bleu marine. Elle la reposa sur son lit deux place qui serait lon d’être vide maintenant et se dirigea vers la salle de bain, envoyant valser ses vêtements, elle prit très exactement cinq minute pour ressortir toute propre et laver, sentit bon la pêches. Comme lorsqu’ils étaient allaient au rotemburo.

Elle se fit un brushing en près de trois minute, s’habilla d’un mini short en jean et d’un débardeur, et se dirigea vers là où était akito, l’écrin en main. Se penchant sur lui, elle mit l’écrin devant les yeux d’Akito, un sourire lubrique au lèvres. Elle le fit un peux bouger, comme si elle l’hypnotiser puis dit.

« Voilà le cadeau que je t’offre, ca fait un bon mois qu’il traîne dans mas commode, mais j’arrivais jamais a te le donner. Donc bon. »

Le petit écrin contenait une chaîne en argent, un bijoux simple mais très moderne et jolie, puis Chi avait craquer, on pouvait pas ui en vouloir. Alors qu’elle s’apprêter à embrasser Akito et plus si affinité s’il était décider, le téléphone sonna. Poussant un soupir, elle posa l’écrin sur le ventre d’akito et lui dit avec un sourire toujours ausis lubrique, une lueur de luxure dans les yeux.

« Je reviens après, ouvre le en attendant. »

Elle partie a la sainte recherche du téléphone, coincé entre deux fringue, et un magasine. Elle décrocha et remonta vers Akito, et vive les téléphones sans fils ! Une voix rave et triste répondit au téléphone. La voix de son père.

« Allo ? Chi ? C’est papa.
- merci je sais, j’ai reconnu ta grosse voix de bourrin derrière le téléphone.. »

Elle imaginait parfaitement son père sourire et lui répondre « espèce de narcissique, toi t’a la voix suraiguë d’une gosse de 12ans alors… » mais pourtant, elle n’eut pas cette réaction, et cela l’inquiéta un peu, tout en regardant Akito elle écouta.

« J’ai quelque chose d’important a te dire, tu pourra le faire passer a Llewelyn ? »

Chi n’aimait pas quand il tournait en bourrique comme ça, et elle aimait encore moins le ton de sa voix. Assez inquiète, oui, cela prouvait bien que Chi pouvait être humaine, comparé a ce que tout le monde croyait, elle s’assis juste devant akito allongé, une main sur la sienne, l’air un peu incrédule.

« - Cherry est morte.
- QUOI ? ! »

S’écria-t-elle incrédule, on croirait qu’elle parlait seule, car Akito ne pouvait entendre la voix du père de chi tant elle était basse. Chi se refusait de croire ça.

« C’est pas drôle papa. C’est de mauvais goût comme blague.
- Chi, tu ne comprend pas, ta mère est morte. Je… je… Elle a fait un arrêt cardiaque. Et l’hôpital n’a rien pu faire… Elle est morte depuis hier, mais je préfère te le dire aujourd’hui car.. »

Koshiro – le papa – ne put finir sa phrase que Chi avait violemment appuyé sur le bouton d’arrêt d’appel et envoyé valser le téléphone contre le mur, et ce pauvre combiné fini mort en mille morceaux. Des millions de larmes s’en suivirent. La pire chose qui devait lui être arrivé. Et devoir annoncer ça Rei… Elle regarda Akito incrédule, les larmes perlant toujours… Elle refuser de croire ça, sa mère était une femme forte et fière, elle refuserait de mourir ainsi, sans rien dire. Fallait qu’elle meure en héros, pas d’une crise cardiaque.

Elle resta un instant dans le moment de silence pesant qui s’en suivit après l’appelle, puis sécha ses larmes et souris sans rien dire. Elle ne devait pas se plaindre au près d’Akito, elle savait qu’il devait avoir vécu pire qu’elle, et elle devait pas donner pitié.

Elle s’efforça de sourire de son mieux, le crayon noir n’ayant pas couler, et vive le waterproof, et embrassa Akito, regardant Akito, pour voir la réaction qu’il avait eu face a son cadeau. Rein ne s’était passé, non rien…

Invité

Akito fixait le plafond avec son air détaché et flegmatique. Il entendit un léger froissement et Chi ne tarda pas réapparaitre en débardeur et en mini short en jean. Akito se redressa très légèrement et posa sur elle un regard gourmand avec en bonus un de ses petits sourires pas très clairs. Elle se pencha sur lui (Aki eut le droit à une vue plongeante sur le décolté de sa dulcinée) et elle lui mit un écrin sous le nez et le fit bouger de droite à gauche. Akito le suivit lentement des yeux et Chi, qui avait le même sourire lubrique que lui, déclara :

« Voilà le cadeau que je t’offre, ca fait un bon mois qu’il traîne dans mas commode, mais j’arrivais jamais a te le donner. Donc bon. »

Merci Chi-chan...

Akito et Chi se rapprochèrent l'un de l'autre pour s'embrasser et Aki commençait à passer ses mains dans le dos de la jeune femme mais une sonnerie intempestive les empêchèrent d'aller plus loin. Chi soupira, posa l'écrin sur le ventre du jeune homme et lui lança un regard luxurieux avant de dire :

« Je reviens après, ouvre le en attendant. »

Chi partit à la recherche du téléphone et Akito dût se détacher à regret de son ange préférée et de son parfum velouté. En attendant, il prit délicatement l'écrin entre ses doigts fins et l'ouvrit. Il contenait une magnifique et moderne chaîne en argent qu'Akito s'empressa de mettre, ravi. Chi revint bientôt, son téléphone sans fil à l'oreille et parlait à quelqu'un, probablement son père ou un oncle quelconque.

- merci je sais, j’ai reconnu ta grosse voix de bourrin derrière le téléphone.. »

Elle posa son regard sur Akito, qui écoutait attentivement, et s'assit à côté de lui, incrédule avant de hurler :

- QUOI ? ! »

Akito sursauta légèrement et Chi reprit :

« C’est pas drôle papa. C’est de mauvais goût comme blague.

Akito eut alors la confirmation que c'était bien son père au bout du fil. Que lui avait-il annoncé ? Aki eut beau tendre l'oreille, la voix de son père était trop faible pour qu'il puisse entendre quoique ce soit. Mais la jeune femme raccrocha violemment et balança le téléphone à l'autre bout de la pièce et il fallut se résoudre à parler de lui au passé.
Puis, Chi fit quelque chose que brisa quelque chose en Akito : elle pleura. Le jeune homme se redressa très légèrement regarda son ange avec un regard sincèrement triste et inquiet, le son cristallin du morceau de son coeur qui venait de s'efondrer résonnant encore en lui. Un silence pesant s'installa entre eux. Moment durant lequel Aki hésita à prendre Chi dans ses bras. mais celle-ci s'essuya les yeux et l'embrassa. Elle lui lança un regard, attendant qu'il dise quelque chose sur son cadeau et aki s'exécuta :

J'adore ton cadeau, mon ange...

Il l'atira contre son torse et embrassa la peau douce de son coup avant de demander tout doucement :

Qu'est-ce qu'il y a ?

Akito la regarda avec tendresse.

Pourquoi, mais pourquoi diable était-elle si maudite. Si encore, ça arrivait une fois par mois, ça passerai, mais non, ca arrive tous les jours. A chaque fois qu’Akito et Chi pouvait se retrouver seul, il y avait la chose qui allait tout faire foirer.

La semaine dernière par exemple, ils avaient enfin réussi a se chopper au coin d’une rue, et Kanako arrive – comme par hasard – et commence son discours sur l’utilité d’être avec Chi. Chi répondant, qu’étant magnifique etc, etc, elle lui ferme le clapet, seulement, Kanako s’en va au bras d’un Akito fout de rage, et Chi qui comprenait pas.

Et y’a deux jour ! Chi fait les magasins, elle croise Akito, pouvant enfin parler, ça commence par deux phrase, quand une tornade rousse arrive, et s’envole au bras de Chi. Laissant le pauvre Akito en plan, qui lui aussi comprenait pas. Llewelyn pouvait se faire lourde.

Mais seulement aujourd’hui ! Enfin ! Alors que sa journée allait être désespéré, empli de malheur et de tristesse, il l’apelle pour se retrouver seul, enfin ! Et avec la plus belle nouvelle qu’on peut faire à une femme. Et enfin qu’ils étaient ensemble, le maudit téléphone dont on dois parler au passé cassait l’ambiance. Stupide père, stupide téléphone, stupide père, stupide journée, stupide père, stupide nouvelle, stupide père, stupide cigarette, stupide père et stupide bière qui voulait même pas s’ouvrir. Elle soupira.

Comment diable, on pouvait annoncer ça une jeune demoiselle qui était depuis très exactement, 22 minute, fiancé au plus beau mec de la terre, avec son complexe de psychopathe en force. Bien sur, il aurait aussi lui dire : « Chérie, ta mère est morte, elle a laisser tout l’héritage a Llewelyn » et la, Chi aurait fait un magnifique arrêt cardiaque. Stupide, stupide, mais stupide père ! Chi n’avait put, après avoir envoyer le pauvre téléphone, qui n’avait rien fait a part sonner, contre le mur, retenir ses larmes.

Elle le sentait bien que ca avait du faire du mal a Akito, c’est pour ça qu’elle avait éviter d’en parler, et qu’en bonne femme dépressive qui se respectent, avait put empêcher ses larmes de couler. Elle se lova contre lui, profitant du baiser d’Akito. Elle était heureuse que son cadeau lui plaise, 22 470¥ (150€)la chaîne, y’avais intérêt ! Elle lui offrit un petit sourire.

« Heureusement qu’elle te plait ! é_è Enfin j’susi quand même heureuse, fallait dire qu’on a pas put se voir beaucoup ces derniers temps… »

Soudain Akito lui demanda ce qui se passait. Elle hésita a repartir dans un torrent de larme, sourire ou tout simple lui dire pourquoi le téléphone avait finit misérablement mort, pour le nombre de fois où elle l’utiliser, elle devrais en acheter un autre. Elle opta pour la troisième option.

« Monsieur Koshiro Harda, alias mon stupide père, à décider de m’appeler glorieusement, pour m’annoncer la mort de ma mère, qui a perdu vie hier de je ne sais quoi, le téléphone a fini contre le mur avant qu’il finisse sa phrase. »

Annonca-t-elle dans un rire nerveux et complètement faux. Elle voulait tomber en larme, mais elle préféré éviter, il en fallait peut a akito pour qu’il craque. Elle avait remarquer qu’il devait être fragile, comme du sucre. Un délicieux sucre que ‘l’on savoir et que l’on prend soin de ne pas briser. Un délice.

Invité

Akito écouta attentivement Chi. Alors comme ça sa mère venait de mourir... Le jeune homme esquissa un très faible sourire. Il savais à quel point la mort d'une mère pouvait être douloureuse. Sa mère à lui était morte il y a 8 ans déjà, lorsqu'il avait à peine 9 ans. Elle était la seule personne qui l'avait compris, la seule personne qui ne se comportait pas comme ces adultes froids et incohérents qui l'entouraient, la seule personne qui lui avait témoignée de l'amour, en déclachant sa propre décadence... Elle l'avait aimé jusqu'à en mourir.
Aki déclara d'une voix étouffée :

Je crois comprendre ce que tu ressens... ma mère à moi est morte il y a 8 ans maintenant. J'avais 9 ans à cette époque et j'étais en orphelinat. Elle est morte à l'hôpital... Elle était folle, enfin elle n'avait plus toute sa tête. Elle ne me reconnaissait même plus. J'étais très sauvage et renfermé à l'époque. Alors quand elle me prenanit pour... pour mon... mon père, ça me foutait le moral en l'ai et je lui en voulais terriblement, même si elle m'a toujours aimé, aimé jusqu'à en crever. Elle s'est suicidée. Elle s'est coupé les veines du poignets mais elle ne s'est pas arrêté là... Elle... elle a arraché toutes les perfusions et autres machins qui la maintenaient "en forme" et elle s'est tranché la gorge avec un morceau de verre qui venait d'un médicament qu'elle avait fracassé par-terre... Au début, j'étais furieux contre elle parce-que je me disais qu'elle m'avait abandonné. mais elle ne supportais plus d'être dans cet état pitoyable. Elle s'appelait Elena, elle était Anglaise. Mon... hum... père et elle... et bien, c'était un marriage arrangé. Mon père la détestait mais elle elle l'aimait aveuglément... Elle est morte par amour pour nous.

Akito se tut, la gorge sèche, le souffle coupé. C'était la première fois qu'il racontait ça à quelqu'un. De plus, il avait un mal fou à admettre que son père était bien son père. Cet espèce de monstre... Mort d'une overdose en prison, comme un sale lâche ! Il s'était suicidé dans la chose qu'il aimait le plus au monde : sa coke. Une fois qu'il eut retrouvé l'usage de la parole, il murmura :

Toute mes condoléances, Chi-chan. Je suis désolé...

Il la serra doucement contre lui et caressa ses cheveux avec tendresse.
En pensant à sa mère, Aki se rappella qu'il faudrait qu'il passe nétoyer sa tombe et lui apporter quelques fleurs en passant. Son adorable mère... Elle comprenait tout : le fait que son vélo puisse être un noble destrier, le fait que ses peluches soient vivantes, le fait que le oiseaux parlent, le fait qu'en vérité les citrouilles sont des gens lâches, le fait qu'Akiko soit son "namoureuse"... Son père et "ses diciples" n'acceptaient pas tout cela. Ils étaient là pour dire avec un ton fort désagréable : "Mais non ! Ce n'est pas un cheval, c'est un vélo !" - "Les peluches ne sont pas vivantes et les oiseaux ne parlent pas !" - "Akito ! la citrouille est un légume !" - "Voyons ! Comment peux-tu... euh... 'aimer' cette écervelée ?!".

Mais revenons-en à Chi et son appartement. D'ailleurs, Akito venait juste de se rendre compte qu'il avait fait un exposé sur la mort de sa mère alors qu'on ne lui avait rien demandé et que c'était très déplacé de sa part. Il baffouilla :

Heu... Oublis ce que j'ai dis sur ma mère, ce n'était pas très avisé de ma part...

Akito lui fit un sourire géné.

Chi posa doucement sa tête sur les genoux d’akito. Le regardant avec ses grands yeux verts… Il avait ce parfum envoûtant, encore… Un parfum qu’elle adorait, c’était rare. Elle n’aimait pas les hommes qui se parfument, mais celui d’Akito… Une odeur de camélia rouge, c’était une odeur enivrante presque… Tout chez lui faisait frissonner Chi, la douceur dont il pouvait faire preuve (n’oublions pas que c’est « mister tronçonneuse » d’après Llew), son parfum, sa voix…
Chi écouta attentivement le récit d’Akito, les larmes qui étaient déjà dans ses yeux faillirent lâcher… Mais Chi savait se retenir, alors c’était ça. Le passé de l’hériter des Aizawa…

C’était triste… Horrible, mais elle ne souffla aucun mot, se laissant bercer par cette voix et ce parfum… Elle comprenait mieux maintenant, et Kanako, elle connaissait tout, maintenant elle comprenait… C’était un sombre univers qui se créait autour d’eux… Akito avait raison, le monde était noir, et elle l’aiderait, du mieux qu’elle pourrait… Elle l’aiderai à surmonter tout ça… Elle soupira puis leva la main, la posant sur la joue de son amant.

« Tu sais Akito… Ce qui s’est passé, je… Je ne veux pas dire que je suis désolé mais c’est tellement… En fait si je suis désolée, désolée d’être si égocentrique… Je t’ai pratiquement toujours forcer a tout me révéler… Je suis désolée Akito ! »

Elle se perdit un instant dans ses yeux noir. Puis il se mit a s’excuser des ses propos déplacés. Elle lui offrit un sourire brillant (effet gloss garantis !) et se releva un peu. Elle était maintenant assi sur les genoux d’Akito, les bras autour de son cou, puis l’embrassa. Elle pencha un peu sa tête, qui trouva refuge au niveau du cou d’Akito, et murmura…

« Ce n’est pas grave, de toute manière je ne veux pas croire que ma mère est morte de manière aussi futiles. Elle mourra en héroïne, en sauvant la veuve et l’orphelin ! »

Lança-t-elle sur un ton d’autodérision complètement faux. Elle savait qu’elle venait de briser un peu plus le cœur d’Akito, et elle, elle venait de perdre encore plus son « humanité » qu’allait-il advenir finalement… ? Elle fit un suçons à la base du cou, et continua…

« Je me demande ce qu’il va arriver, a partir de maintenant… Je… nous sommes fiancé et aujourd’hui je… »

Elle s’embrouiller la… L’horloge sonna les 20heures (ben ouais, il était rentré à 18heure dans le loft donc…) Elle était heureuse, enfin presque, au moins akito lui avait révélé une partie de son passé… et ça c’était quelque chose qu’elle avait toujours voulu… Elle se recula un peu… Les mauvaises nouvelles seraient pour demain, après tout aujourd’hui était un grand jour… Alors autant profité du nouveau univers qui venait de se créer, de ce nouveau lien, de cette nouvelle complicité… Chi défit un premier bouton de la chemise d’Akito… Elle avait soudainement moins faim…

--------------------

Trois mois plus tard …

La nuit était tombé depuis un petit moment maintenant sur Tokyo, c’est normal il est bientôt minuit. Et il y a encore pas mal de monde dehors, il y avait beaucoup d’amoureux qui se baladaient main dans la main dans le parc. Tout était calme mais pourtant on attendait au loin des gens se disputaient … C’était … Shaolan et Chi ?! A oui c’est vrai ils sont sortit précipitamment du banquet de fin d’année, on dirait que leur rapport ne sont pas arranger. Il faut dire qu’ils ont chacun un caractère bien à eux et assez différent l’un de l’autre.

Donc ils troublent un peu le calme des promeneurs nocturne mais cela passa vite. Donc ils se dirigent vers l’appartement de Chi et on a l’impression qu’ils ne savent même pas où ils vont enfin peut-être Chi mais Shaolan ignore complètement où il va mais il ne sait même pas pourquoi il suit la directrice, il pourrait partir mais il ne sait pas mais il arrive pas à partir, bizarre …

Donc il arrive enfin devant l’immeuble où habite Chi, montent les escaliers et arrive devant la porte, la jeune femme ouvre celle-ci et entre, mais Shaolan non, il se demande ce qu’il fait ici est hésite à entrer, mais il le fit quand même.
Depuis qu’ils sont arrivé devant l’immeuble la petite dispute s’était effacer comme par magie. Ils se retrouvent donc tous les deux seuls dans un assez grand appartement ; Shaolan qui n’avaient pas vraiment capté qu’il était seul avec la directrice du collège, il regarde tout autour de lui et sort tout naturellement ceci d’une voix assez neutre.

« Joli appart dit donc ! »

Et il reste là les mains dans les poches en plein milieu du salon de l’appart.

Chi poussa un soupir et quand Shaolan la sortie du banquet, elle poussa un soupir de soulagement. Mais que faire… L’alcool l’ayant rendu semi-lucide, t l’envie de s’amuser, et le manque qui se faisait sentir elle opta pour l’emmener chez elle. Ils traversèrent le parc emplis d’amoureux, eux brisant l’ambiance avec une dispute stupide sur le fait du vouvoiement, et de l’irrespect dont il lui avait fait preuve. Une fois arriver au loft de la jeune directrice, la dispute se termina. Elle entra la première, jeta négligemment son sac sur le canapé, de même que la veste qui accompagner sa robe et les mitaine en résille. Shaolan la suivit et ne referma pas la porte. Elle poussa un soupir et alla la fermer a sa place.

Elle pivota sur elle même pour faire face au dos de Shaolan, elle en profita pour mater un peu, puis écouta vaguement ce qu’il disait. Elle se dirigea vers le mini bar et se servit une coupe de champagne. La bière ayant disparu, fallait qu’elle en rachète d’ailleurs, elle prépara un autre verre pour Shoaln et lui tandis.

« Ouais, c’est un loft. Je te fait pas la visite, tu cherchera par toi même… »

Elle posa sa coupe de champagne, et sûrement poussé par l’envie, le manque et l’alcool poussa Shaolan contre la porte, lui qui n’avait pas bouger, et l’embrassa. Le verre de shaolan toma, produisant un bruit de fracas au sol dont chi ne tint pas compte, et embrassa ainsi shaolan pendant une bonne minute. Ce serait sans doute une nuit de plus, rien qu’une nuit. Pour oublier.. A peu près tout, qu’Akito était disparu, que sa mère était morte, qu’elle avait pris soins d’un élève.. Pour oublier que Rei et Riku était portée disparu, juste ça… Juste une nuit.

Elle s’arrêta, et regarda Shaolan d’un regard mi-clos, les yeux a moitié fermer par l’envie. Et lui qu’est-ce qu’il ferait, sûrement comme elle, il en profiterai et sachant que cela sera une nuit sans lendemain partir le soir même, avec le souvenir d’avoir passer une merveilleuse nuit avec la direcrice. Chi serai persuadée d’avoir fait un heureux, et le monde continuerai de tourner comme si rien ne s’était passer. Elle irait a Ginza, ferai les boutique, prendrait les vêtements les plus chers de marques étrangères, et Shaolan sécherait les cours a faire une quelconque activité.

Mais cette pensée ne l’empêcha pas de recommencer a l’embrasser peu après, un baiser frais d’envie, mais sans amour. Elle se recula un peu, et alla en titubant vers le canapé. Il n’y avait aucun mot depuis près trois minute, un grand silence rien de plus.

Le jeune homme qui était tranquillement entrain de regarder le salon, eu un verre dans la main sans même qu’il le demande. Donc il allait commencer à le boire juste au moment les lèvres de Chi remplace le verre, il le fit tomber d’ailleurs. Surprit ne s’attends pas à ça, il n’eu même pas le temps de savourait le baiser de la directrice qui n’était pas vraiment un baiser d’amour … Ils restent collé l’un à l’autres pendant une bonne minute puis elle retire ses lèvres des siennes. Le jeune homme n’eut même pas le temps de laisser échapper le moindre son qu’elle remettait ça aussitôt.
Après ce deuxième baiser, elle se dirige vers le canapé, le jeune homme la regarda marcher et descendit son regard inconsciemment, et il se dit ceci :

* Eh mais j’avais jamais remarqué qu’elle était aussi attirante ! *

Il décide de s’approchait d’elle qui était assis sur le canapé. Il s’assoie à son tour à côté d’elle, ne sachant que faire, il resta de marbre.

Le jeune homme avait déjà eu des moments similaires avec une fille mais là c’est différent, c’est la directrice … Pourquoi lui ? Puis il se dit que vu le baiser qu’elle venait de lui donner cela ne ressemblait pas à de l’amour pur, mais alors qu’est-ce que c’était ? Il n’eut pas le temps de répondre à toutes ces questions, il était déjà occupé ailleurs. Il venait de déposer ses lèvres sur celle de Chi, sans même sens rendre conte mais cela n’était si différent qu’avec une autre fille. Ce sera sûrement un amour d’une nuit et demain tout le monde aura oublier, donc pourquoi pas en profité un peu.
Donc il resta environ trois minutes sur ses lèvres puis les retire et la regarde en attendant de voir ce qu’elle va faire après il verra bien ce qu'il fera mais pas avant.

Shaolan vint la rejoindre sur le canapé, et s’assit a coté d’elle. Chi ne tint pas compte un grand silence régnait, chacun perdu au fond de ses pensés. Mais pourquoi diable était-ils sortis déjà ? Il l’avait engueuler en la tutoyant, et finalement l’avait entraîner dehors, puis Shaolan c’était mis à la suivre sagement, et elle l’avait conduite à son appartement. Oui, rien de plus. Il n’y avait de base, rien de mal. Mais au final, Chi avait fini par profiter de la situation, et quand elle sentit les lèvres de Shaolan se plaquer contre les siennes, elle en déduis que lui aussi en profiterai bien.

Le baiser fut rompu par ce (putain de) manque d’oxygène. Chi Il n’y avait rien, juste un peu d’envie, qui s’accomplissait grâce à la témérité du jeune homme. Chi observa Shaolan après qu’il eut terminer son baiser.

« Téméraire. Tu veux vraiment en profiter ? »

Lâcha-t-elle amusée. Ce n’était en soit pas un problème, car elle, elle ne profiterait bien. Et autant commencer d’ailleurs. Elle observa Shaolan et attendit une réponse, fallait pas que ça tourne en viol. Problème avec la police, problème avec le père, on lui retire la direction de l’établissement, son argent et elle fini en prison, ce serait dommage n’est-ce pas ? Perdre une siiiiiiiii bonne directrice… Bien sur y’avait Riku, mais cette dernière était portée disparu, elle les avait lâchés lâchement cette lâcheuse. Ca ne se faisait pas ! Crime contre l’intégrité morale de Princesse Chi Harada, première du nom, et sûrement dernière.

Vous la voyait vous, avez un gosse nommée Chi II. Non ça sonne moins bien que Louis XIV c’est sûr. Mais le sujet n’était pas « Chi est ses éventuel et peu probable futur gosse » mais la thèse devait comporter sur « Comment allez s’amuser Chi cette nuit, avec un beau gosse dans son appartement qui avait le choix d’accepter ou d’être viré. » Note sur 20, coeficient 2 dans la moyenne. Et la réponse non, n’est pas envisageable.

Ainsi elle resta a attendre la réponse. C’était qu’il attendiat lui même qu’elle fasse quelque chos,e quelque chose qu’elle ferait sûrement en cas de réponse positive, ce qui n’était pour le moment pas la cas, comme pour une réponse négative, mais refuser l’offre du si jolie jeune fille, il était évident que la condition de Chi Directrice ne pouvait être mise en caus,e la situation n’est pas a pensé à ça mais a : que faire quand une jolie fille me propose ouvertement de coucher avec elle ?

N’importe qui de sensé ce serait jeter sur l’occasion, alors : fonce !

Un long silence s’installe assez rapidement dans la pièce entre les deux jeunes personnes. Le jeune homme commence à se demander que ce qu’il vient de faire fût raisonnable, c’est quand même la directrice ! Il ne fit donc rien pour le moment. Mais la jeune femme posa une question, la question fatidique que n’importe quel homme normal ne pourra refuser :

« Téméraire. Tu veux vraiment en profiter ? »

La Directrice, Chi Harada vient de poser cette question à Shaolan qui n’en croyait pas ses oreilles.
En temps normal il aurait directement sauté sur la fille en question mais là ce n’est pas pareille, la jeune femme en question c’est Chi, la Directrice, il ne peut pas faire ça … Qu’est ce qu’il va devenir si ça s’apprends au collège, il sera sûrement viré ! Non il ne peut pas ! Mais d’un autre côté il ne peut pas refuser une telle proposition, d’une femme aussi jolie. Il a beaucoup de succès au près des filles, mais jamais il n’avait imaginer même pas la présence d’esprit qu’un jour Chi lui propose de couché avec elle !

Tout ceci embrouille le jeune homme qui ne savait plus quoi faire ni pensait ! Chaque seconde et insoutenable, toujours la même question qui tourne, qui tourne : oui ou non ? Une question, deux réponses possible mais la qu’elle est la bonne ?
Le pauvre jeune homme ne sait vraiment pas quoi faire, surtout que la jeune femme commence à s’impatienter … Que faire ?! Oui ou non ?

Et au bout de ce temps de réflexion il se décide enfin à dire oui ou non ! Il pousse un soupire interne, prend son courage à demain et dit ceci d’une voix assez ironique :

« C’est une question qui ne se pose pas ! Et la réponse sera toujours la même. Et tu le sais très bien »

Il l’a encore tutoyé, (>< c’est pas vrai ça !) donc la réponse du jeune homme était obligatoirement positif. Pour bien lui prouver il lui déposa un baiser bref sur les lèvres, et lui sourit assez timidement. (qui est rare de voir chez Shaolan ^o^)

Tous les doutes du jeune homme sont partis en poussières et il ne reviendra pas sur sa décision. Ce n’est pas grave si c’est que pour une seule nuit, autant en profiter après du reste on verra.
Tous les malheurs du monde n’ont plus d’importance pour le jeune homme maintenant, même plus une seule pensée envers ses Air Teck ! (Chi et Shaolan ne savent pas encore qu’ils font partit du même club ^o^) Il n’y a juste lui et elle et pour le moment c’est tout ce qui compte pour le jeune homme qui attend de voir la réaction de la jeune femme …

- hj Les choses sérieuses vont pouvoir commencer mwa je dis :p hj -

Mais qu’il était lent. Franchement, autant se limer les ongles, faire une french manucure, et allez s’acheter des rollers dans la boutique du coin, chose que bien évidemment elle ne ferait pas. Il devait réfléchir, c’est vrai que la morale était contre. Une directrice avec un élève ! Oh Ciel ! Autant de suite se marier, et elle avait faillit le fair,e et en soi ce n’était pas si dérageant que ça, vu que peu d’entre eux prenait Chi au sérieux. Elle se défoncer dans les boite VIP de Shinjuku, s’auto mutiler de tant autre dans un bar en commandant une vodka orange. Bref, Chi n’était pas un modèle pour les jeune femme voulant devenir directrice. De toute manière, elle comptais pas en faire son boulet.

« C’est une question qui ne se pose pas ! Et la réponse sera toujours la même. Et tu le sais très bien »

Chi eut du mal a comprendre le sens de cette phrase. En quoi la question ne se posait pas ? Bien sur que si, sinon ca pouvait tourner en viol ! La réponse serait toujours la m^me ? Qu’est-ce qu’elle en sait, elle. Elle ne connaissait pas Shaolan sur le bout des doigts, a vrai dire ça faisait deux fois en trois ans qu’ils se parlaient alors. Elle se moqua royalement du tutoiement, pour ce qu’ils allaient faire, autant laisser les formalité de coté.

Une fois qu’elle eut compris que Shaolan lui avait dit indirectement oui, un sourire carnassier se dessina sur ses lèvres, qui virent se poser directement sur celle de Shaolan dans un baiser qui n’avait absolument rien d’amoureux. C’était fini le temps où on s’excitait pour un petite baiser, pour le premier petit café offert, ou la sortie au cinéma. Non, les deux étaient majeur, avaient autant d’expérience l’un l’autre, et devait sûrement le faire aussi facilement qu’on fait ses courses.

« Puisque la réponse est oui… »

Elle observa le T-shirt de shaolan, se disant que ce ne serait décidément pas pratique, elle retira avec une facilité et rapidité déconcertante le haut de Shaolan. Se moquant de l’endroit, de l’heure, et des préjugés de demain. La ce qui comptait était actuellement la manière dont allez procéder Shaolan, car pour le moment ils étaient sur un canapé, c’est pas le meilleur endroit pour le faire, il fallait l’avouer. Mais ils sauraient se débrouiller tout les deux de toute manière.

Elle descendit sa main sur le torse maintenant a découvert de Shaolan, et ne put s’empêcher de voir que monsieur était assez bien taillé. Vive le sport. OU bien était il un béni des dieu qui avait cette beauté naturel, tant mieux pour lui si c’est le cas. Elle caressa le buste de son amant d’une nuit pour arriver finalement au jean de l’élève qui avait décidément bien de la chance. Et commença a défaire la braguette, la directrice n’était pas une fille patiente...

Après avoir répondu la jeune femme eu un petit moment de réflexion qui laissa perplexe le jeune homme qui se demandait que ce qu’il avait répondu était bien compréhensive … Mais la réponse à cette question fut assez rapide vu que la jeune femme lui dit finalement ceci :

« Puisque la réponse est oui… »

Qui fut succéder d’un baiser sans amour de la part de la jeune femme, voilà les hostilités commencent, et la jeune femme n’alla pas plusieurs chemins, elle retire directement le T-shirt du jeune homme, passe sa main baladeuse sur son torse et descend directement sur la braguette de son pantalon.
Cela ne surprit guère le jeune homme en question qui avait entendu dire que quand Chi veut quelque chose elle y va franco ! Et pour le plus grand bonheur celui-ci bien attendu !

Voilà les choses sérieuses vont enfin commencer ! Donc le jeune homme qui avait la main de la jeune femme à proximité de « son engin » (je commence gentille au début ^o^) c’était pas très pratique pour bouger et vu que la jeune femme ne voulant à première vu ne pas lâcher prise donc Shaolan fit avec, il enlève à son tour le haut de Chi et enlève en même temps la main de celle-ci de sa braguette.
La voilà en soutien-gorge. Voilà une directrice bien appétissante ce dit-il inconsciemment, (-_- ‘) après cette petite pensée quelque peut déplacer. Il s’attaque donc ensuite au fameux soutien-gorge ! Une plait à enlevé mais vu que le jeune homme a comment dire les mains assez habile pour ce genre de chose, cela ne lui posa aucun problème.

La voilà entièrement nu sur le haut. Elle était pas mal foutue dit donc ! Et voilà qu’il se retrouve en l’espace d’un instant au dessus de la jeune femme, et lui déposa un baiser sur les lèvres comme elle le fait il y a quelques instants, c’était plus un baiser d’envie de ce la faire qu’un baiser d’amour ! (-_-‘)
Il la regarde et il se dit que là saillait il ne peut plus reculer en arrière qu’un porte demain ce sera un autre jour, tout ce qu’il compte s’est l’instant présent et la chose qu’il s’apprêtent à faire peut-être la seule fois qu’il le fera avec elle ! Il ne peut plus ce poser de question inutile c’est un homme et il va faire ce que n’importe quels hommes auraient fait à ça place : Ce la faire !
Peut-être que cela peut en choquer plus d’un mais c’est que ressent Shaolan en ce moment, la voir transpirait, la voir jouir voilà ce qu’il veut. Le petit tombeur de seconde zone est devenu grand maintenant il est devenu majeur et ses dits sur la jeune femme sont ainsi car il sait très bien que c’est ce qu’elle pense en ce moment …

Voilà la folle nuit de ses deux-là vas bientôt commencer ... Âme sensible s’abstenir !

Shaolan réussi par on ne sait diable quel miracle à retirer le bustier de Chi, suivit bien sagement du soutien-gorge qui rejoignit les pauvres vêtements entassés sur le sol au fur et a mesure que les deux jeunes adultes déshabillaient leurs contraires avec avidité. Shaolan avait les mains habiles, et réussi sans peine à se débarrasser de la corvée du soutien-gorge, généralement le plus grand calvaire des hommes. Quel chanceux.

Chi avait donc son magnifique buste dévoilé à la vue du jeune homme, qui avait pris les commandes. Chi aimait être au-dessus mais se laisser dominée de temps à autres n’était pas plus dérangeant que ça. La guerre était déclarée. Une guerre entre deux semi-adultes, en manque, prêt a tout pour voir jouir l’autre, prêt a tout pour se livrer dans une bataille qui ne durera de toute manière qu’une nuit de pure baise, et rien de plus.

Chi savait tenir les hommes en place, et généralement ils craquaient facilement face à cette belle, pure produit de la Think Pink Generation. Mais là, c’était légèrement diffèrent, pas plus que les tous les mecs qui voulaient se la faire… Ses mains déjà expertes retrouvèrent bien vite la braguette du jean de l’heureux gagnant d’une nuit. Braguette qui fut vite défaite, et le pantalon ne tarda pas a rejoindre le reste des vêtements des jeunes en manque. En manque de bonheur. En manque d’un amour qui n’existe de toute manière pas. En manque de sexe. En manque de vivre tout simplement.

Chi restait maintenant plus habillée que Shaolan, ce dernier en caleçon, et elle encore en jupe, qui dissimulait un simple string. Caleçon que Chi se ferait un plaisir de retirer le plus rapidement possible, Et d’ailleurs sa main tenait déjà les bords du dernier vêtement de monsieur tandis qu’une seconde s’amuser à dessiner des arabesques au creux des reins du gagnant du Loto du jour.

Et d’ailleurs cette dernière ne se fit pas prier pour le faire tout en laissant ses lèvres parcourir le cou du jeune homme et le début des épaules. Chi glissa un peu pour dévorer un peu plus la peau de Shaolan, Laissant traîner ses lèvres dont le gloss était à moitié partit, elle remonta pour embrassa Shaolan et passa ses mains derrière son coup. C’était à lui de jouer, puisque monsieur a décider de prendre les commandes, il assume les conséquences.

Disons les choses sérieusement, chi avait envie de tirer un bon coup, et a priori elle n’avait pas choisi un si mauvais numéro, plus doué, et qui aimait être aux directives, oui… Elle savait encore choisir les mecs, elle n’était pas perdue à un point si bas. Elle ouvrit ses grands yeux émeraude et fixa Shaolan avec envie…

Après c’être laisser déshabiller bien gentiment c’était à son tour de faire d’eux même pour la demoiselle qui n’attendait que ça. Il passe ces mains derrière son dos descend doucement et arrive à la jupe qu’il enleva aussitôt puis l’envoie sur les autres habit entasser les uns sur les autres. Elle se retrouva en string de couleur noir qui ne tarda pas à rejoindre le tas d’habit par terre.

Les voilà donc tout les deux à armes égalent, les choses sérieuses peuvent commencer ! Le jeune homme qui est toujours au dessus dépose ses lèvres sur les siennes, et descend petit à petit sur le corps de la jeune femme et traînant un peu au niveau du bassin.
Et il arrive à l’endroit dû, la partit la plus intime d’une femme et celle que le jeune homme préfère dans l’anatomie féminine : le vagin !
Qui était rasé, une chance pour le jeune homme qui n’aime pas trop le goût des poils dans la bouche. Donc il commença par embrasser celui-ci puis commence à mettre la langue dedans et de la ressortir puis de la rentrer. La jeune femme ne semblait pas trouver sa désagréable donc le jeune homme continu.

Il eu un de liquide de blanc pas si mauvais autour de la bouche, puis il remonte sa bouche vers les lèvres de la jeune femme. Tout en l’embrassant, il fit descendre sa main droite sur le corps de la jeune femme puis arrive à l’endroit où sa langue avait pénétré et il mit ses doigts dans celui-ci puis fait des aller vient dans celui-ci.

Ensuite il retire ses doigts, se lève en levant Chi en même temps. Il a prit dans ses bras tout en l’embrassant, va vers le mini barre et prend la bouteille de champagne traînait, ça serai bête de gaspiller une aussi belle bouteille quand même ! Ce dit-il. Ensuite il entraîne Chi dans sa chambre en direct qu’il connaît le studio par cœur alors que c’est la première fois qu’il vient ici !

Donc ils entrent dans la chambre, le jeune homme dépose Chi sur le lit, débouche la bouteille boit cul sec mais ne la fini pas c’est une assez grosse bouteille. Il verse le reste sur le corps de Chi puis lasse tomber la bouteille qui ne se casse même pas. Il se met à son tour sur le lit, prend la jeune femme et lèche le corps de celle-ci. (qui est abibé de champagne je rappelle n_n)

Après avoir enlever quasiment tout le champagne dû corps de Chi, il se mit haut dessus et entre en elle. Cette sensation fut bénéfique pour le jeune homme qui ne l’avait ressentit depuis très longtemps. Il la regarda, elle n’attendait que ça donc Shaolan ne se fit pas entendre, il commence à donner des petits coups de bassin puis il accélère de plus en plus puis relâche et refit des petits coups. Ainsi de suite, après avoir fini ceci, il fit passer la jeune femme en haut et c’était à son tour de dominer ! Shaolan se laissera faire maintenant et il est assez curieux de voir ce que la jeune femme lui prépare. En tout cas il est sur qu’il ne sera jamais au bout de ses surprises avec elle !

Chi se laissa entraîner dans cette débauche qui commençait a partir de maintenant. A partir de maintenant ils étaient ennemis, ce serai un lutte acharnée pour avoir le plus possible tout en sachant pertinemment que demain il n’y aura rien de plus qu’un vague souvenir de cette nuit de déchéance pure.

Monsieur Shaolan, nommé Rider de son état au cheveux changeant de couleur toute les trois minute dix décida que pour commencer la guerre il fallait préparer le terrain, ainsi Chi sentit monter elle par vague, le plaisir que lui procurait la sensation de la langue bien curieuse de monsieur. Chi se mordit la lèvre inférieur tout un agrippant de ses ongles trop manucurée le cuir du canapé. Elle détestait gémir, surtout maintenant, et elle savait craquer quand il fallait.

Puis il se décida a remonter l’embrasser, et en profita pour utiliser ses doigts bien expert sur la demoiselle, cela la ravit intérieurement, car il l’empêchait de gémir, et malgré tout le plaisir et elle se refusait à ça.

Puis il arrêta, au grand dam de Chi. Elle se sentit soulever, et Shaolan se dirigea vers le mini bar, il prit le champagne, et Chi se demanda bien ce qu’il compter en faire. Et avec surpris,e la porte jusqu'à sa chambre, comment savait-il où elle se trouvait ?.

Elle fut poser sur le lit plus ou moins délicatement et vit le rider finir la bouteille, elle lui ferai repayer pour la peine. Soudain, elle sentit un liquide glacé asperger son corps, elle eut a peine le temps de comprendre que le jeune adulte avait décider de réaliser un de ses fantasmes. Il jouer a des jeux bien érotique pour son age, et avec les affaires des autres, qui plus est.

Et Chi le sentit, cette bouche avide qui parcourait son corps, prenant millilitre par millilitre le reste de champagne imbibé sur son corps. Chi ensuite se sentit pénétrer. Cela faisait si longtemps ! Une sensation qu’elle adorait, une sensation qui lui faisait plaisir ! Elle adorer ça. Et a la mesure des va et viens de Shaolan, sa respiration se couper de plus en plus, et surtout, sa voix étouffer pousser quelque gémissement d’un bonheur retrouver.

Puis contre toute attente, Chi revint en dominatrice. Elle afficha un sourire carnassier et lui offra ses lèvres. Puis elle descendit sa bouche délicatement, en baissant la tête. Elle passa au cou, a la base du coup, a la clavicule, puis au téton durcis qu’elle titilla légèrement. Elle continua, s’arrêtant au nombril de monsieur, ses long cheveux éparpiller sur le torse du rider, qui glissait comme de la soie. Elle joue avec le nombril quelque instant tout en masturbant l’adulte, et finalement elle posa ses lèvres sur le membre de Shaolan…. Attendant un instant.

» . : ' ( ~* Galerie de Chi Harada *~ ) ' : .