~ Suite Du Banquet. ~

C' était le soir du banquet de fin d' année. Ce soir là, il y avait tout l' établissement qui était là et heureusement que le Foyer des Elèves est gigantesque, sinon on serait écrabouillés, et on pourrait même pas danser... Bref, deux jeunes surveillants, sortirent de la salle, où se déroulait le banquet de fin d' année. Ces derniers, se dirigèrent vers le Parc, qui appartenait à l' établissement, main dans la main...
La jeune femme, ne dit rien, tout comme le jeune surveillant, Ginji, qui était à côté d' elle... Dans le ciel, la Lune brillait ; les étoiles, ils y en avaient des milliers, on voyait aussi des avions qui passaient dans le ciel, mais sa, c' est pas beau, sa gache tout...

Il n' y avait même pas de vent, c' était tout calme... Le chant des oiseaux parvenait aux oreilles de la jeune femme, c' était une mélodie, très douce,
très reposante, et décontractente ! La jeune femme, qui avait comme emploi, surveillante, ne savait pas quoi dire... Les deux jeunes gens, marchaient, sans but précis... Ils écoutaient les oiseaux chantaient, regardaient les étoiles... Puis, plus loin, il y avait un banc, les deux personnes, s' en approchèrent, pour s' assoir... Ils avançaient d' un pas lent, mais, un jour ou l' autre, ils allaient bien réussir à parvenir jusqu' au banc...
Arrivés à côté du banc, les deux jeunes gens, s' asseyèrent, et ils ne dirent rien du tout... Comme si ils étaient muets, sauf que qu' ils ne l' étaient pas...

Ginji et Ayase, lachèrent un soupir, un petit, tout petit soupir, que l' on entendait même pas... La jeune femme, pensait, de tout et de rien, enfin, nan, Ayase pensait à beaucoup de chose à la fois, elle commençait à s' embrouiller toute seule...
Le vent commença à ramener sa fraise... Mais ça aller encore, il n' était pas violent...
La jeune femme, regarda le jeune homme, elle le fixa... C' est alors, que la jeune femme vit le liquide qui n' était pas inconnu à ses yeux, du sang oO !
La jeune surveillante, plissa les yeux...

* Pouuuuwa ! C'est ce que je pense, du sannnnnnng ???? -_-' *

La jeune femme, continua de fixer Ginji... Puis lui dit alors d' un ton calme...

- T' es sûr que ça va ? T' as l' air...... Bizarre...

Ne savant que dire d' autre, la jeune surveillante, continua de le fixer en ne disant que dalle... Plus loin, on pouvait voir le Lac qui reflettait la Lune... Ayase, entendit un avion passer... Le chant des oiseaux, continuait de se faire entendre, mais cela ne faisait rien, puisque ils chantent bien... Par contre, si c' était un oiseau qui chantait comme une casserole, la, sa serait dérangeant...

Enfin, le bruit avait disparut, il ne parvenait aux oreilles de Ginji que la mélodie, non désagréable, s'effacant peu à peu de l'athmosphère reposant où les deux jeunes surveillants allaient mains dans la mains. Une dernière marche et le bruit s'effaca a tout jamais... Comme tout était bien, dans cette nuit, pas au peu de vent, les étoiles très visible, enfin, pas tout a fait comme vous le pensez, mais pour une ville comme Tokyo, c'est sur qu'il y a de quoi étre ébahit devant ce spectacle... Il y avait par ci par la quelque amoureux qui se conter leur amours, comme a chaque fête. Tout semblait aller bien, tout semblait concourir pour que les deux jeunes gens passent une sourée inoubliable, et en effet elle allait être inoubliable cette soirée... Alors qu'il avancait tout simplement, Ginji se pressait le ventre pour que le sang ne coule pas trop, je rappelle qu'il s'était fait renverseré par une voiture deux jours plus tôt, et allant sonner a une porte pour qu'elle l'acceuil sous son toit, car la pluie se faisait méchante, il avait rencontré Ayase. Il avait passé une petit partie de la nuit dans le canapé, des bandages sur le bides, et s'était relevait vers 2 heures et quelque poussière. Puis, revennant chez lui, il se coussa tant bien que mal la blessure. Oui, Ginji est un couillon de première, mais cela n'est pas une nouvelle. On peut dire que c'était pas sa première connerie, mais q'elle était pas mal non plus. Ayant oublié son porte monnais chez Ayase, dont il ne connaisait pas le nom, cette dernière avait atteri devant sa porte, et Ginji l'avait acceuilli lui offrant la possiblitité de se reposer. Mais elle parti, et Ginji en fut triste. Apprenant néanmoins qu'elle était surveillante, il fut heureux de pouvoir la revoir le jour d'après, a Chuugakkou Aka (c'est le nom du Collège, le nouveau nom en fait. Mais tu peux pas savoir, et moi oui!^^) Et comme cette soirée fut celle du banquet, Ginji l'avait invité. Malheureusement, pendant la danse, Ginji se prit un violent coup dans le ventre, et la blessure se rouvri. Ils (Lui et Ayase) sortirent, Ginji pour ne pas être remarqué, Ayase, pour d'autres raisons (que je ne connais pas, peut-être la chaleur? ^^) Et les voila, parcourant le vaste parc mains dans la mains, avec un grand sourrire aux lévres. Alors que Ayase se retourna, elle prit concience du mal ravagé les tripes de Ginji (je déconne, ca va pas jusque là^^) d'après l'expression de son visage, et surtout d'après la subite question suivant. Mais Ginji ne voulait pas gacher se moment, mais ne voulait pas non plus mentir a une si delicieuse personne. Il dut donc lui dier la vérité. Déboutonant sa veste, il enleva aussi son gilet. Sa chemise était pleine de sang. Plus que pleine, elle était devenue rouge elle même. rien comparé a l'autre fois, mais pas mal tout de même. Et Ginji, sans faire trop gaffe, il s'attendait déjà a ce qu'il y avait, enleva sa chemise, pour faire de celle ci un garot. Mais si prennant comme un manche il ne comprit guère pourquoi sa marchait pas. Et puis, puisque personne n'est parfait, il dit une connerie, car Ginji n'est pas un type parfait, mais un fichre d'imbécile. Il n'écoute jamais ce que les autres veulent lui dire, et ne fait que ce qu'il veut. Alors, je reprend, il dit :

"Mais oui, je me sens en super forme, même pas mal, " et se relevant, il senti la douleur passer, et s'écroula par terre. Il reprit avec la même indiference, "ou peut-être un peu tout de même..."

Et il éclata de rire. Vraiment, il avait un don pour dire des conneries ce type. Et surtout pour en faire. Jamais en train de prendre soin de lui, jamais... Maintenant, la seule chose qu'il voulait faire, c'est regarder ce visage d'ange, et .... l'embrasser.

Le chant des oiseaux, s' étaignait peu à peu... La jeune surveillante, qui avait posé une question au jeune surveillant, le regarda; avec un regard interrogateur... Ce dernier, c' est à dire Ginji, débouta sa chemise, qui effectivement, était remplit de sang bien rougeâtre... Puis, ayant finis de déboutonner, la jeune femme regarda avec le même regard interrogateur qu' avant...

* Gouuuuuarg, pleins de sannnnnng x_x... Ben dis donc, il est dangereux lui ... -_- , deux jours plus tard, pig ping boum... Mais je l' aime bien ! ... *

La jeune femme, qui était surveillante, écouta la réponse de Ginji attentivement :

"Mais oui, je me sens en super forme, même pas mal, "

C' est alors que le jeune surveillant tomba, et reprit, comme si rien ne s' était passé... :

"ou peut-être un peu tout de même..." ...

Après cette réponse, la jeune femme eux un sourire aux lèvres, puis le jeune homme, lui, rigolait...
La jeune femme, hocha la tête, et se leva de son banc, elle s' accroupit juste à côté du jeune surveillant, qui venait de se faire bobo au torse xD. Puis, ne disant rien, elle le fixa avec le même sourire qu' avant... La jeune femme, regardait les yeux de Ginji, qui brillaient avec la Lune, qui se reflettait... Ayase, détourna le regard quelques minutes, et regarda la Lune, qui était bien pleine, enfin, toute pleine même...

Les oiseaux, commençaient à s' envolaient un peu partout, dans toutes les directions possible... Le Banquet, était toujours en marche, la musique à fond... Les élèves allaient avoir les timpans briser ... Mais bref, sa on s' en fou pas mal !
La jeune Ayase, repréta son attention sur Ginji ; la jeune femme avait un petit sourire aux coins des lèvres, elle continuait de le fixer, lui de même...
La jeune surveillante, mit sa main sur celle du jeune surveillant qui n' avait pas l' air d' avoir trop trop mal à sa blessure au torse... La jeune femme, ne savant quoi dire, et quoi faire, ne fit rien pour l' instant ^^...

Plus loin, le Lac, qui était tout beau, dans la nuit, la Lune, faisait un super reflet sur l' eau su Lac, sa faisais jolie quand même... Puis, continuant de regarder le jeune surveillant, la jeune femme, approcha ses lèvres des siennes et............ l' embrassa ^o^ ! Après quelques secondes, la jeune femme, détacha ses lèvres de celle de Ginji, et ne dit rien du touuuuut... Ben voui, elle savait aps quoi dire, après ce qu' elle venait de faire... Pourquoi l' avait elle fait ? Bonne question ... La jeune femme, n' avait rien à dire après ce baiser tendre et doux... Ayase, lui avait dit ses sentiments par un baiser de quelques secondes, environ quinze, vingt ou trente secondes environ... La jeune femme, continuait de fixer le jeune homme, avec un sourire amicalement, amical...

La jeune fille le regardait toujours, et Ginji plongeait dans le regard de cette déesse déchu, descendu sur terre pour une raison inconnue du commun des mortels. Il faut dire que sa beauté l'avait surement perdue, et que Vénus l'avait renvoyé sur terre. Autre hypotèse, Zeus aurait couché avec miss monde, et il en venu a Ayase. Oui, celle la est pas trop mal. Et comme Ginji, le regard clair, brillant sous les étoiles, fouillait dans l'intensité profonde des yeux de sa cavalière, il senti toute douleur, toute peine, tout problème, disparaitre comme aspiré par une lame de fond. Il était la, hébété par le visage d'ange d'une surveillante, pensant que si il devait mourir maintenant, il n'aurait vraiment pas loupé sa vie, et aurait fini par voir une Aphrodite. Il ne pouvait désormais plus soutirait son regard des yeux violets sombres mais pourtant très clair, beau et surtout amicaux (^^), et dans cette amicalité, percé un sentiment plus profond, plus dur, que Ginji ne determiné pas, mais vraiment pas. Dans ses yeux, se refletait ses propres yeux, et voyant a travers ses yeux, il vit de nouveau se sentiment, cette sorte de compassion, et pourtant d'envie, de crainte, mais de craindre quoi? De perdre la personne qui lui ai cher... Oui, Ginji connaissait se sentiment. Il en avait baver dès sa jeunesse, mais ne pouvait s'empècher de s'envier tout autant... Il ne pouvait que se plaindre sur son sort, mais ne le fit pas. Le courage de Ginji, c'est de n'avoir jamais put se débarraser de son passé, et surtout de devoir vivre avec... Il avait été méchant, terrible même, mais il ne pouvait s'empècher d'être sympathique avec les gens qui l'apprécient... Il avait tout fait pour oublier son passé, et maintenant, ne savait plus quoi faire, c'était comme si il était pour de bon foutu... Ses yeux le fixant ne pouvait être plus suportable, mais sentant la tension monter entre lui et elle, il ne pouvait s'empècher de penser a des souvenirs ou la tension était haute. Et encore, lorsqu'il regardait dans ses yeux, et y voyait de la compassion, il ne pouvait supporter de revoir les instants les plus atroce de sa vie... C'était un suplice, mais il voyait bien que cela allait mieux, et de voir ses yeux d'une si grand intensité le regarder ainsi, il se senti aux anges... LIBRE enfin!! Et le moment arriva ou la jeune femme se baissa, et déposant sur ses lévres un baiser si profond que jamais plus Ginji ne l'oublirais. Il l'avait soigné, et maintenant, il le guérissait... Comme c'était doux, chaud, mais tellement agréable... Les lévres se retirèrent... Et les yeux de la jeune femme redevinrent visible. C'était un rêve sublime, ou le prince charmand, le sauveur, celui qui va délivrer la princesse de son chateau pommé au dessus d'un mur de lave, avec comme lave, les souvenirs pesant d'un être plus qu'imparfait, et même presque un démon... Et bien, cela se produisit aujourd'hui, sauf que les roles étaient inversés. Et Ginji se redressa doucement, et prennant Ayase dans ses bras, il pleura... Il venait d'être de nouveau de retour parmis les vivants, après un très long séjour chez les morts. Et bien que toujours gai, toujours cool, toujours fort, jamais malheureux, Ginji aurait pus porter la terre sur son dos, sans que la charge ne change grand chose à celle qu'il avait déjà sur son dos... Maintenant, dans ses larmes, qu'il n'avait pas versé depuis plus de 15 ans, il rejetté ses péchés, comme passé, et decouvrait de nouveau le bonheur...

... Mais je tiens a vous préciser que si ces larmes se sont écoulé, Ginji n'en reste pas moins une bête de combat, n'ayant aucune pitié pour les faibles, mais les faibles qui recherchent à atteindre la force par la lacheté. L'honneur de Ginji est tel que de toucher à l'instant, ne serait qu'un seul cheveux de ses amis, serait se condamner a passer le restant de ses jours a recevoir les coups de Itachi Uchiwa (dans Naruto). On ne peut se permettre de faire du mal a ceux la, si vraiment votre vie ne vaut la peine...

... Mais trève de bavardage, désormais, vous ne pourrez jamais voir un Ginji si sensible que ce soir ci, et jamais n'éspèrait lui soutirait d'autre larmes, car le temps est la chose la plus dur a suporter, et d'avoir partagé ses souffrances a la jeune femme, était comme suprimer le temps, qui désoramais n'était plus rien, et donc, plus de temps, plus de souffrance. Surtout, je ne sais pas si vous savez, mais vivre avec la peur de mourir, c'est ce condamner à soufrire. Seulementk, vivre sans peur, vous assure, si vous êtes capable de l'assumer, le pouvoir de rester en vie. Et maintenant, Ginji qui avait réussi a se faire pardonner, était comme un homme dont la mort ne ferais plus peur. D'ailleurs, elle ne lui fait plus peur...

...Et prennant la main de la jeune femme, il l'emmena au lac, gambadant tout joyeux. Il s'était liberé, et plus rien ne l'empèchait de rigoler désormais. Cool, on va pouvoir voir le Ginji décadant, chiant a point, mais surtout super attendrissant... Ca faisait un baille que je ne l'avait pas vu aussi gai, aussi sympa, ca faisait chaud au coeur.. La jeune femme paraissait s'muser elle aussi. Sans pour autant partager les mêmes sentiments de Ginji, vis a vis de leur "amour", elle devait avoir compris ce qui se passait dans le coeur de Ginji. Je ne pense pas qu'elle ne l'ai entendu pleurer, mais si oui, elle a vraiment du comprendre ce qui se passait dans la tête de cet imbécile...

... Pardon? Sa blessure? Ah, oui! Non, cher lecteur, je n'ai pas oublié d'en parler, seulement, c'est devenu un cas tellement mineur, Ginjni devenu insensible a la douleur, il n'était donc plus nécésaire d'en parler. Quoi? Il est torse nu? Et bien... heu... Non! Vous êtes trop bête ou quoi! Il a mis son pull directement. Ce dernier n'ayant pas de manche, ou pouvait voir l'ange sanglant sur son épaule qui lui aussi sembait guérir...

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Suite au Lac ]

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