Mirage Uesugi, Troisième Année

Invité

Nom :
Uesugi

Prénom(s) :
Mirage, Miru (voir), Michi (inconnu)

Surnom :
Zombie, Anglaise, Gaijin (étrangère), Monstre.

Date de naissance + âge :
Elle est née un 14 octobre 1992 à Shibuya et a donc 14ans

Année :
Troisième année ( Cause : redoublement)

Sexe :
Féminin

Physique :
Mirage est une des ces enfants qui ne grandisse jamais. Malgré ses quatorze ans encore très adolescent la jeune femme a le doux visage d’un innocent enfant de douze ans. Seulement voilà, les trait de cet enfant son cadavériques et inspirent assez l’inquiétude. On la dirait malade et à l’article de la mort. Elle ne compte les fois ou l’on s’est moqué d’elle telle : « Et zombi ! Tu viens de Resident Evil© ? » alors que elle, elle ne savait même pas ce que c’était, Resident Evil. Mais ces réflexions aussi méchante soit-elles, et autant qu’elle jouait les désintéressées, la blessait au plus profond d’elle-même. Et sa mère lui répétant inlassablement : « Ignore-les, ils sont juste jaloux… » Elle ne s’est jamais auto-jugée sur ce physique peu commun, mais les autres, les autres c’est une autre histoire, et ces réflexions qui la blesse.
Et sur ce visage intrigant et blême vient se planter deux perles d’un bleu aussi profond et étrange que la nuit. Il ressort que trop bien, et cela la gène parfois. Elle fait peur, trop peur. Ces yeux qui ressorte, on la dirais morte. Il lui arriver d’être viré d’un cour pour avoir ‘menacé’ son professeur du regard. Alors qu’elle n’avait fait que de le regarder dans les yeux. Parfois, elle se met des lentille de couleur, ne supportant plus cette différence. Mais sa peau, elle, resta indéniablement blanche, même si elle est asiatique d’origine.
Par dessus ce petit visage fin et rond avec son petit nez droit, ses lèvres fines et ses grand yeux effrayant et enfantin, vient s’ajouter une chevelure abondante d’un châtain a mi chemin entre le trop foncé et pas assez clair. Mi longue et semi ondulée, elle est douce est brillante, au multiple reflet auburn, ils sont doux, épais, et soyeux, et pourtant, Mirage ne porte aucun intérêt a sa coiffure, elle est déjà rejeter de tous alors.
Ils sont très simple, rien de particulier, si ce n’est leur couleur, et grâce a ce teint blafard et ces cheveux d’un châtain clair elle a eu le surnom d’Anglaise, de Gaijin. Les autres la disait « pas d’ici » pourtant, même si Mirage ne l’a jamais connu, sa mère certifié que son père était un japonais pur race. Alors pourquoi, pourquoi est-elle si différente, pourquoi elle est blanche cadavre et blonde européenne ? Alors qu’elle est « d’ici ».
Ses cheveux et capte les doux rayons du soleil, qui font terriblement de mal à sa peau blême. Effectivement sa peau supporte très mal le soleil, d’où le fait qu’elle ne porte que des vêtement long. L’uniforme ne lui va absolument pas.
S’en suit un corps sans aucun attrait particulier. Elle est vraiment enfantine, et un simple bout de sa poitrine est naissant, alors que son corps est fluet et petit. Elle n’est vraiment pas très grande, faisant a peine le mètre 56. On pourrait presque dire qu’elle n’a que 11ans et qu’elle a toute les choses de la vie a apprendre, pourtant, elle, elle connaît des choses que d’autre ne connaissent pas…
Pour souligner cet effet de petit « cadavre étranger » elle s’habille différemment…
Des petite mains gantelées, un style d’habillage particulier, un peu comme les petites filles modèle, en plus sombre et plus glauque. Une robe de soie, de dentelle et de froufrou noir, un bandeau de la même matière, couleur, avec une rose, des hautes chaussettes jusqu’au genoux blanche, des petite socquette noire…
Mais Mirage ne s’est jamais plus aimée physiquement depuis ses sept ans alors…

Caractère :
Comment pourrait-on qualifier Mirage. C’est une dure question, c’est une adolescente, sûrement dans l’age ingrat, comme tout le monde dit. La première chose a dire serait qu’elle ne s’aime pas. Les autres avec leur moquerie l’ont rendu ainsi, elle se rabaisse a certains adjectif sale qu’elle se donne a elle même, tel ‘Monstre’. Elle est victime du ‘racisme’ comme on dit, et au final s’est prise réellement pour un monstre..
Elle a tendance suicidaire et dépressive. Elle va toujours se rabaisser, et lorsque sa mère rentre en larme, elle va avoir de sombre idée, trop sombre pour ce jeune corps.
Elle est une adepte de l’automutilation, et même si sa mère le sait, elle continue, en cachette sur certain endroit de son corps autre que son bras, tel ses cuisses.
Ses tendances suicidaires l’ont déjà poussée a l’acte, elle est s’est shooté a de nombreux médicaments.
Ce séjour a l’hôpital l’a fait se renfermé sur elle même plus qu’autre chose. C’était un acte qu’elle aurait tant voulu réussir, les questions posées a son retour ne firent qu’encourager Mirage a essayer de se changer, mais elle remarque bien vite que les autres, eux, étaient les même. Mais elle était si heureuse, qu’on puissent enfin la remarquer, qu’elle cesse d’être Mirage. Mais elle se rendit compte, bien vite, les autre ne changent pas en deux coup de baguette magique. Ils reprirent bien vite leurs pire sarcasme, et Mirage se referma de nouveau sur elle même.
Seulement depuis son acte, tous les problèmes devait être réglé par une thérapie… Mirage déteste les psychologues, ils disent qu’ils vous comprennent, alors qu’au final ils sont la juste pour rassurer les parents « votre enfant n’a pas besoins d’allez en asile ». quand un jour un professeur l’a dit par mégarde, les moqueries des autres ont doublé, et ceux pour pratiquement toujours…
Son redoublement la gêna énormément, et elle n’y trouve pas plus de point positif que si on l’avait fait passé, mais elle avait décider de jouer une grande comédie.
… En réalité Mirage ne se montrait jamais sous son vrai jour, et ne le fais toujours pas, elle s’est armée de patience, a travailler son sourire et sa bonne humeur, ainsi elle pouvait jouer sa plus belle comédie. Devant ses amie elle se fait souriante et délirante, mais une simple insulte l’achève, et elle n’y répondra pas, se laissant abattre. Ce n’est que chez elle qu’elle commence a pleurer toute les larmes de son corps, a s’ouvrir le bras avec cutter. Et elle fouille la maison en cherche de médicament a avalé. Pour passer le temps elle s’est enfermé sur Internet. Elle s’invente une autre vie, va sur des forum, et reste dans ce monde fictif… Elle a une personnalité différente de quand elle est vrai. Sur Internet c’est un autre elle. Une narcissique pseudo joie de vivre qui s’assume… Bien sur, oui, tout ce qu’elle dit est vrai, elle assume ses actes… Sauf certains mensonges qu’elle cache. Et elle confond parfois la réalité avec Internet… Elle se referme sur ça…
Elle a des idée noires qui fusent dans sa petite cervelle. Tel que pensais a se droguer pour oublier que maman ne s’occupe plus d’elle, se prostitué pour règle les problème d’argent… Fuir cette vie qu’elle considère pourrie… Ce n’est pas glorieux, mais si tentant que ça en devient maladif, et les autre ne le savent pas, juste ceux d’Internet…
Depuis qu’elle a ‘perdu’ son meilleur ami, Mirage se tut, Mirage sourit, Mirage pleure, Mirage n’eut plus rien a faire, mais ne fit aucun ‘bêtise’ par manque de courage sûrement…
Combien de fois Mirage entend des phrase horrible, combien de fois Mirage s’est retrouver seule, dans sa chambres, avec les idées les plus noire qu’un corps si frêle et jeune peu avoir. Elle s’est rendu que trop tard de la réalité des choses. Tout le monde lui dit depuis cette actes insensé qu’elle a fait, de suivre une thérapie. Mirage n’en veux pas. Mirage se considère guérie. Mais elle le sait, au fond, que ça ne servira a rien. Au creux de son cœur déjà en lambeau, que le vide, la solitude persistera. Elle aura beau essayer de se montrer forte, elle n’y arrivera jamais totalement. Et a chaque fois, elle entendrais la voix douce et mélancolique de la tristesse. A chaque fois, elle irait dans les toilettes ou en cours, a chaque fois une lame argenté deviendra rouge sang. A chaque fois que ça la blesse…

Bienvenu gente demoiselle !

Vous me rappellez quelqu'un que je connais ... Je vous rassure cette personne est charmante tout comme vous ...

Bonne fiche j'attends l'histoire avec impatience

!

Invité

Histoire :
Eri Uesugi était une jeune femme de 28ans normale, une jeune femme avec un petit métier, une jeune femme qui vendait des légume dans une grande surface. La bas elle rencontre « papa » là-bas elle créé une petite fille. Cet homme, elle ne connais rien de lui, juste son prénom, s’il est dit que ce soit son vrai. Près de neuf mois plus tard, dans un hôpital de Shibuya, elle accouche d’une petite fille trop différente. Mirage Miru Michi est née. Et elle, c’est moi. Je suis Mirage, une petite fille née dans un monde horrible. Un monde que je ne veux plus voir, un monde aussi aveugle que moi-même. Ma mère est chômeuse, ma mère cherche sans cesse un métier, me laissant aux mains de ma grand-mère. Une grand-mère que je ne comprend jamais. Que je n’arrive pas aimer. Puis j’ai trois ans, et en ce jour d’avril, je vais au jardin d’enfant. A coté de moi des cinquantaines d’enfants pendu au bras de ce qu’ils appellent « papa », c’est un homme, un homme fort qu’ils admirent tous. C’est une personne que je ne connais pas. Et ils sont tous là, avec leurs jouets, les mêmes qu’on voit à la télé, les mêmes que je n’aurais jamais.

Puis je les prend sans les rendre, ça s’appelle : ‘voler’, mais moi je ne le sais pas, pourquoi eux ils l’aurait, et moi pas ? Pourquoi eux ils connaîtrait le bonheur et pas moi. Je n’oublierai jamais le regard que ma mère a eut ce jour là. Eri à eut honte, Eri m’a sourit avec des yeux déçu et triste. Plus jamais ça. Et sans que je comprennent, sans que je vois, les autres m’ont appelée « Monstre » « Gaijiin » mais moi, j’était juste blanche et blonde. Et ma mère qui avait un nouveau travail. Un travail peu glorieux, un travail qui me laissait toute seule, avec moi, avec le « Monstre »…

Maman est rentré du travail, je l’ai entendu. A l’école on avait appris à compter, et mon réveil il affiche 22 : 04. Il doit être tard car il fait déjà nuit, et sur mon petit lit, j’entend le vent de la nuit dehors. J’hésite à me lever pour l’accueillir, mais je la sens venir. Un souffle chaud sur ma joue, un « bonne nuit ma petite Mirage », et la porte qui se referme, me laissant toute seule dans le noir. Maman si tu savais, comme tu me manque, tu n’es jamais là, jamais… Maman ! Reviens s’il te plait !

Aujourd’hui est un grand jour, aujourd’hui j’ai 5ans. J’entre au CP. Je sais déjà compter jusqu'à 50. Il paraît que c’est très bien. Je sais même lire et dessiner ! Et écrire ! J’ai fait un livre avec les animaux de la ferme. Un livre qui ne montrer pas de monstre et d’étranger, un livre simple, un livre que j’ai fait. Un livre a moi, mon monde. Aujourd’hui je sais ce qui m’attend. Je sais ce qui se passera quand Mamie viendra me prendre la mains et m’amènera dans la petite voiture rouge qui fait défilé de grandes images, avec plein de vert, et d’autre voiture du genre. La voiture qui me ramène à la maison…

Ils l’ont fait. Ils ont recommencer, je suis toujours ce que je ne comprend pas. Je suis toujours un monstre, toujours une étrangère. Aujourd’hui y’avais une nouvelle dans la classe, elle s’appelle Mayuki. Elle avait l’air gentille, mais elle a fait comme les autres sans me connaître, elle à suivit tout le monde. Ca change pas, je suis toujours le monstre… Je pensais me faire une amie. Elle était gentille et ne me connaissait pas. Elle était belle cette Mayuki, de long cheveux brun… Elle ne faisait pas son âge… Mais elle la trouva avant moi. Elle c’est Shimuka. Elle est dans ma classe, c’est une Japonaise comme moi. Mais une japonaise que tout le monde suit…

Shimuka ne m’aime pas et je ne sais pas pourquoi. Shimuka est grande, Shimuka a le même age que moi… Un jour j’ai eut le malheur de la « voler » mais elle avait tant de jolies poupées ! Ce n’était pas mal ! Je voulais juste jouer avec… Shimuka elle ne m’aimait pas et je ne savais pas pourquoi. Je ne savais pas pourquoi je voulais tant qu’elle m’aime, pourquoi je voulais avoir tant d’amis alors que maintenant je sais…

Shimuka sympathisa bien vite avec Mayuki, et ensemble elle me menaçait, je ne comprenait pas bien ce qui se passer a cette époque, je n’avais que cinq ans ! En cours je ne répondait pas lorsqu’on m’interrogeait, je voyait juste les regard noirs qu’elles me lançaient sans raison. Je savais juste qu’a la récréation j’allais pleurer…

Un jour Mayuki et Shimuka sont venues me voir avec un sourire au lèvre. J’étais assise sur un bac, je regardai les autres courir. Je m’étais faite punir exprès pour ne pas avoir a subir leur remarque, pour ne pas devoir rester seule sans raison… Elle m’ont regardé et m’ont dit :
« Dit Mirage, tu veux être ‘Normale’ ? »
Surprise. Je ne m’y attendais pas. Bien sûr que je voulais ! J’aurais tout donnée pour être brune ! Pour avoir ces yeux bridé atypique… J’acquiesça silencieusement, ayant trop peur de prendre la parole face à elles. Elle gloussent légèrement, ayant bien compris mon hochement de tête et répondent d’une même voix :
« Ferme les yeux. On va te faire une surprise. »
Je les écoutes, aveugle. Je ferme les yeux et entendent leur pas s’éloigner et leur petits rires, je suis anxieuse, je ne vois rien, et je n’ouvre pas les yeux quand je sens un liquide froid couler sur ma tête et ma chevelure. J’ouvre les yeux, alors qu’au loin je vois la Maîtresse avec un air horrifié. Je vais vers un miroir et j’éclate en sanglot. Ma chevelure est noire charbon. Quelque gouttes du liquide noir s’était insinué sur mon visage… La longue chevelure blonde était gluante et noire. Mon visage parsemé de ce liquide noir, je pleurait. La maîtresse me regarda avant d’appeler mes parents. Maman ne répondit pas. Elle travaillait… Alors elle me laissa ainsi jusqu'à la fin des cours, dans cet état pitoyable…

Ce jour là j’ai sut, que je ne pourrais jamais être comme les autres que j’essayais vainement de ressemblait a des personnes qui ne m’accepterai jamais. J’avais déjà 6ans… J’avais six ans quand je compris que je faisait partie des exclus… De ces gens trop différents.

Aujourd’hui j’ai 8ans. On a éducation civique, c’est une matière que j’aime beaucoup. Ca informe sur les droits que personne ne respectes. Un jour on aborder le « racisme » et tout d’un coup, j’ai éclaté en sanglot…. Je m’en souviens, les larmes sur mon cahier, l’encre qui coulait doucement. J’avais compris. Plus qu’avant, je savais ce qu’il se passait. Le professeur m’observa un instant avant de me conduire dehors. Il m’autorisa a rentrer que lorsque je me serais calmée…
Quand je suis rentrée a la maison ce jour, j’ai rêver que maman me prenait dans ses bras et me consolerait… Mais maman n’était pas la quand je suis rentrée, alors j’ai pleurée, encore, toujours, j’ai pleurer jusqu'à que j’en tombe de fatigue. Pourquoi n’étais-tu jamais là, maman ?

Les jours et années ont passé, sans que ça ne cesse, sans que le Monstre ne deviennent un humain…. Je suis au CM2 maintenant, j’ai 10ans. Ca va déjà mieux. J’ai un ami, il s’appelle Shin. Il me protège. C’est le seul qui ne me considère pas comme le monstre… Et même si Shimuka est amie ave lui, il me défend face a elle. Ca me fait plaisir au fond, d’avoir quelqu’un comme ça. Mayuki-chan est partie, Shimuka elle a eu de meilleur rapport avec moi depuis que je connais Shin… Mais les humiliations continue quand même. Encore une nouvelle dans notre classe. Je ne fais pas attention a son prénom, je regarde la vitre. C’est l’automne et je vois les feuilles tomber. C’est magnifique, cette pluie entièrement pure… Il y va y avoir de la neige aussi, je le sens… La seule place libre pour la nouvelle est celle dont personne ne veux, celle qui se trouve a côté de moi.
Elle se tourne vers moi et me souris, mais je ne le vois pas, je ne la regarde pas.
« Hi ! M’appelle Kimitsu et toi ? »
Je suis surprise qu’on m’adresse la paroles, je tourne instinctivement la tête vers Shin, mais il est pris par le cours, puis je retourne la tête vers la dénommée Himitsu, un maigre sourire au lèvres.
« Je m’appelle Mirage… »

Elle me regarde bizarrement. Mirage est nom qui n’est pas commun, mais en réalité, Maman ne sut pas qu’elle nom me donner, je étais déclaré à la Mairie bien tard, et un soir lorsqu’elle était saoul elle a m’avait dit.
« Je n’aime pas les prénoms japonais. Mirage ça sonne bien. Tu sera Mirage Uesugi, et demain, tu sera ‘vivante’ »

Je me souviens encore malgré mes trois ans. Je me prénommée Mirage, mais je n’était une de ses images que l’ont adore regarder, c’était l’inverse même. Elle continue de me regarder bizarrement, plongeant son regard noisette dans mes yeux bleus qui ne l’effraie pas. Je reste neutre et impassible, j’observe simplement.

A la cours de récréation, elle vint s’asseoir a coté de moi sur le banc, pour partager son goûter. Je suis heureuse, je crois que je me suis faite une nouvelle amie. Mais cela fait trop longtemps que je suis désillusionnée. Shin s’approche lentement de nous, il a l’air déçu lorsqu’il me voit avec le bento de Kimitsu en main.
« Salut les filles. Ca va Mirage ? »
Il se tourne vers Kimitsu avec un sourire, pour se présenter.
« Moi c’est Shin. Je sais qui t’es, t’inquiète t’es la nouvelle c’est ça ? »
Aujourd’hui, j’ai ris jusqu'à la fin, Shimuka n’a pas osée m’approcher, sûrement parce que Shin était la. Pourtant le lendemain… Le lendemain j’arrive en retard, Maman m’avait déposée chez le médecin car j’étais malade. Et quand je reviens, Je vois Kimitsu auprès de Shimuka et les autres. Elle passe devant moi et me lance un regard méprisant. J’ai compris… J’ai déjà compris ce qu’il se passait…

C’est la fin de l’année scolaire. Ce que m’annonce Shin a la sortie des cours me fit tomber. Il redouble. Mais comment, comment vais-je affronter le collège sans lui ? Comment vais-je affronter Shimuka sans lui ? J’ai envie de pleurer… Il me sourit en me disant que c’est pas si grave, que dans un ans, on sera de nouveau ensemble. Pourtant, j’ignore que le véritable cauchemar n’a pas commencer…

C’était pendant les grande vacance, mon cousin vien voir ma man, pour lui dire bonjour, elle n’est pas là. Elle travaille, et moi je reste là. Maman m’avait fait une surprise, un soir, je suis rentrée, et il y avait un PC d’installé, ce jour là, je n’ai plus quitté ce monde virtuel…

Il était gentil et s’occuper de moi, il demande s’il peut rester, je répond que oui… Mais c’est ce jour que le sang sera versée, ce jour que je me briserai. Ce jour où mes ailes se sont arrachées d’elles-mêmes. Un jour maudit… Ce jour là, je fut souillée… Je n’arrivai pas a crier, j’étais même paralysé…

Depuis ce jour, je crains. Je pleur doucement, et je me laisse étreindre par cette douce voix qui ne me veux que du bien, bercé par le silence, au rythme d’une valse incessante qui me fait mal. Une valse que mon cœur créer, une valse que je ne peux arrêter, une valse fatigante, mais que je continue a danser pour paraître heureuse.

Ce jour la mon cœur s’est enfermée sur les sombres rêves déchu. Les conte de fée n’existait plus, je ne voulais plus rien. Mes yeux virent les objet différemment, un compas avait maintenant la plus grande importance. Les monstres, ça ne souffraient pas ? Si… Je voulais essayer, voir ce qui me différencier tant, voir ce que les mots ne pouvait exprimer. Doucement je sentis le contact glacé de la lame sur mon bras. Je regardais le sang qui perlait sur mes draps blanc, l’idée d’essuyer cette couleur écarlate ne vint pas… Et je pleurais, je pleurais ce que je n’avait put avoir… Je pleurais ce qu’il m’avait fait et me faisait encore… J’entrais seulement en sixième, et je sombrais déjà. Il n’était plus. Je ne pouvais déjà pas supporter leurs répliques incessantes… Ainsi toute l’année, je continuais ainsi, seule.. Et je continuerai jusqu'à que je ressente la douleur, pour pouvoir me considéré comme humaine.

Aujourd’hui c’est la fin de ma deuxième année. Et j’ai appris que je redoubler. Les marque ont doublé, comme les larmes. J’étais persuadée que ça ne me ferai aucun mal, j’avais tort… Mais il eut un bon coté, il était de retour ou presque. Il m’ignorait presque… Alors, lors de ma seconde deuxième année, j’ai oser. J’ia pris des cachet… J’ai voulu essayer, sans pour autant y arriver… Aujourd’hui, Shin a déménager, il ne me parle plus. Et je suis seule ici, il ne me reste plus que mes larmes et mes lames… J’entre en troisième année, et je suis encore le monstre. Un monstre qui joue la comédie…Un monstre qui garde toujours ses idées sombres… Maman n’est toujours pas là, maman manque d’argent… Et moi, je suis seule.

Alalala, il y en a qui prenne plaisir a faire de long post, et qui ne sont pas submergé pas leur entousiasme de conquête du nouvelle empire ouvert a leur porte (vous avez vu cette métaphore filée?)... Bravo, je me ferais une joie de te valider!

Invité

J'ai fini. J'attendrais ma validation.

Très belle histoire, fiche parfaite et validée !
Bon jeu.