Usami Ayase [Mise à jour]

Nom : Usami

Prénom : Ayase

Date de naissance : 8 Juillet

Âge : 16 ans

Année : 6ème année

Sexe : Féminin

Physique : Cheveux longs, ils sont d'un blond platine éclatant, dû à de nombreuse décoloration.
Des traits fins, un visage soigné qui autrefois révélait une négligence à toutes épreuves, les lèvres de Ayase sont fines et nacrées. Ses yeux sont d'un noir de jet qui glace souvent le sang de ceux qui oseraient éveiller un soupçon de colère en elle. Souvent vêtue de robe à la lolita gothique, Ayase attire tout de même les hommes et on ne peut dire que sa poitrine soit plate, car la jeune fille possède de belle forme depuis déjà le tout début de son adolescence. 1m66, elle est assez grande pour une pure asiatique, aaah, les dures lois si complexes de la génétique...

Caractère : Autrefois asociale, Ayase est devenue très extravertie, mais garde tout de même certaines distances et n'éprouve que rarement une véritable affection pour les gens qu'elle côtoie. Agoraphobe, elle se cache sous de fausses apparencse, se montre forte, hautaine, arrogante, insultante, mais est terriblement fragile sous sa carapace d'acier. Elle n'attends rien des autres et ne fait aucunement preuve de pitié devant ses victimes qui sont tout aussi bien masculines que féminines. Orgueilleuse et modeste avec le temps, elle est terriblement fébrile et spontanée, ce qui lui vaut souvent des claques bien froides. Loin d'être grossière, elle est courtoise mais malhônnete. Egalement prétencieuse et téméraire. Au passage, elle est juste légèrement beaucoup gourmande et vaniteuse.

Histoire : Nous, les humains, nous avons différentes manières de nous prouver notre affection. Que ce soit par le corps, les yeux, la bouche, les mots... Et tant d'autres... Tout dépend également de la façon dont nous le voyons, cet amour...
Lorsque j'étais petite, je sautais au cou de tous ceux que j'aimais, ma famille, mes amis, sauf lui... Mais un jour, ils m'ont tous demandés d'arrêter. Ils m'ont dis que j'étais c******, collante, et que ça en devenait lassant... J'ai eu mal, terriblement mal, car j'étais incapable, à cette période, de leur dire que je les aimais. Même à mes parents... C'est d'une futilité... Mais j'en étais incapable, point barre, il n'y avait rien à ajouter. Alors qu'on m'interdise de montrer mon amour par ces gestes... Je suis dés lors tombée dans la dépression, je suis devenue agoraphobe, j'ai commencée à avoir peur des gens, j'étais déjà pas mal timide à la base, alors, avoir peur d'eux... Je ne sortais plus, mes parents ne se rendaient compte de rien. Ils se disaient que c'était parce que mes amis habitaient loin, vu que mon école se trouvait de l'autre côté de Tokyo, mais cette école, c'était une grande opportunité pour moi. Mais lorsque les personnes que vous aimez ne veulent pas de votre affection.. Je ne parlais plus aux gens, à personne, je me refermais, je créais ma coquille, épaisse, rude... J'ai eu mal, j'ai mal, et j'aurais toujours mal lorsque j'y repenserais...
Mais, je n'étais qu'une enfant à cette époque, pourquoi vouloir me priver de la seule chose que je pouvais donner? Car, que peut-on faire pour ceux qui nous sont cher lorsque nous n'avons que 8 ans appart leur montrer notre affection à leur égard?

Avec le temps, mes "amies" ont commencées à s'inquiétées, je ne les prenaient plus dans mes bras, pourquoi? Car elles m'avaient demandés de ne plus le faire, non? Alors, c'étaient elles qui venaient chercher un câlin amical et réconfortant, et c'était moi qui en étais gênée dés lors.
Me testaient-ils? Qu'avais-je fais pour que l'on se moque ainsi de moi? Car depuis la dépression.. Je ne prenais pas soin de moi, je grandissais, c'était justement maintenant, en pleine puberté, que je devais commencer à prendre soin de mon corps et me faire belle, mais pourtant... Je m'habillais en tenue de sport, en t-shirt large, alors que j'avais déjà des formes à 11 ans, mon corps se développait plus vite que les autres. Je faisais tout pour passer inaperçue et comme je ne prenais pas soin de ma peau, l'acné est vite apparue. J'étais laide, et les garçons ne se faisaient pas priés pour me le faire remarqué. J'avais mal, bon dieu, j'avais mal dans cette école de riche, où autrefois on avait refusé mon amour et que désormais on cherchait à me l'arracher, alors que chaque jour, je m’enfonçais plus profondément dans les limbes de ma solitude...
Ne m'approchez pas, je ne veux pas de vos bras, je ne veux pas de bras qui autrefois n'ont pas voulu de moi.
Je devenais asocial, mon agoraphobie perdurait et je ne souhaitais pas particulièrement arranger la situation.
Mes parents m'ont alors changé d'école, ne sachant toujours pas mon état mental. C'était juste que le long trajet, chaque matin, devenait pénible pour mon père, car jamais il ne m'aurait laissé aller en bus ou en train jusqu'à l'établissement scolaire.

Mais qui dit changement d'école, dit changement de vie. J'ai vu une nouvelle porte s'ouvrir à moi, une nouvelle chance. J'ai essayé de me rendre la plus belle possible, ce n'était pas encore fameux, mais un net améliorement de la part des autres se voyait. J'en ai donc déduit, à 13 ans, que les gens, tous, avaient d'énormes préjugés, selon l'apparence.
Ca m'a blessé, j'ai donc décidé, d'entrer dans le jeu. je me suis mise à draguer les garçons, chaque jour, je devenais un peu plus jolie qu'autrefois. Je devenais désirante, ils aimaient ça, et j'aimais les voir m'apprécier, me trouver jolie. Mais j'avais toujours mal, car ce n'était pas ce que je recherchais. Alors, j'ai joué, joué avec leurs sentiments, joué avec leurs émotions, pour qu'ils comprennent à quel point ça faisait mal. Je les draguais, sortais avec eux, et au bout d'un mois, voir quelques semaines, je les larguais pour m'enticher d'un autre. Mais ce n'était jamais de l'amour. Alors directement, ce que j'en pensais de l'amour au début, n'avait plus de sens. Je pouvais mentir, exprimer de faux sentiments, avec les mêmes réactions, les mêmes gestes, les mêmes mots, que ceux que je pouvais utiliser pour déclarer une véritable affection. C'était dangereux comme jeu, mais peu importe, je me vengeais, je leur faisais mal, je mentais, et je me disais que si moi je pouvais le faire, els autres aussi, et je ne pouvais donc accorder ma confiance à personne.
Cette coquille était toujours présente, j'avais toujours aussi peur des gens, mais je ne le montrais pas, je ne devais pas le montrer, je devais être forte, ou tout du moins, le sembler...
Mais ceux qui semble les plus fort, sont bien souvent les plus faible... J'étais faible, je le savais, au plus profond de moi, mais je me refusais de l'avouer.

Mes parents reçurent une belle promotion, peu avant mes 15 ans. Ca faisait longtemps déjà qu'ils parlaient d'emménager dans une plus grande maison, de me faire un petit frère ou une petite soeur. C'est vrai que eux, ils étaient encore jeunes... J'étais née très tôt, trop tôt sans doute. Plusieurs fois d'ailleurs, je cru être une erreur, être née sans être désirée. Ma hargne, ma colère se fit plus intense. Et aujourd'hui encore, en arrivant au Collège, je joue encore avec les sentiments des autres...
Je n'attends rien de l'amour, c'est une belle cage d'orée dans laquelle nous nous enfermés, et lorsque celui que nous aimons lâche la cage, la chute n'en est que plus douloureuse...
Je n'aurais pas mal, pas mal pour eux. Je suis libre, je suis belle, j'ai tout pour plaire, et mon sale caractère me permet de vivre sans trop de difficulté parmis ces couples heureux, qui me rendent malade de jalousie... Mais cela, jamais je ne l'avouerais réellement.

Ses année précédente au college : Ayase a été dans 2 écoles avant d'arrivée au collège. La première était une école privée d'enfant de riche qui lui promettait un grand avenir, mais elle changea à 13 ans d'établissement et également de maison. Ses résultats scolaires ont toujours été bons, la seule chose que ses profs avaient à lui reprocher était son comportement arrogant et hautain envers ses camarades.

[Je m’excuse d'avoir rédigé cette histoire à la première personne, mais j'y tenais particulièrement. Et il est stipulé dans le règlement que c'est obligatoire dans le rpg, mais nullement dans l'histoire. Si tout de même ce n'est pas accepté, je modifierais.]