Ma fan-fics …Enfin…Je me décide à l’écrire…
Tout commence dans un quartier, ce quartier est réputé plutôt chaud, selon les gens qui y passent ou y travaillent, on dit même qu’il ne faudrait pas y trainer entre vingt et sept heures du matin. On dit que certaines personnes ne seraient jamais revenues, en tout cas, jamais dans la forme où ils sont arrivés. Mais reprenons, si vous le voulez bien, une jeune fille d’environ 18 ans, de longs cheveux bleus foncés avec un regard émeraude des plus profonds, marche tranquillement entre deux immeubles, évitant les voitures carbonisées et les quelques clochards assoupis. Mais vient une bande de jeunes délinquants, à première vue, tous des lunettes de soleil extra-fines, accompagnés de T-shirt et de jogging de marque. Mais parmi eux, un semble se distinguer, un grand brun d’environ 1m85, une vingtaine d’année, sûrement, peu importe. Il s’approche de la jolie jeune fille, et lui adressant un clin d’œil lui dit :
Chef des délinquants : Hey poupée, ça te dirait de sortir avec moi et plus si affinités, héhé…
Il l’entoure de son bras, puis il lui met la main aux fesses, de façon à « montrer » sa virilité, mais ça ne tourna pas comme il l’avait espérer. Et oui, celle-ci lui met une gifle et s’échappe de son étreinte.
Le groupe : Oh ! T’aurais pas dû frapper le chef, poulette, tu vas crever, moi j’te dis…
Le chef de cette bande se retourna et attrapant rapidement la jeune fille par le bras, il sortit un couteau de sa poche et le braqua sous sa gorge.
Chef de la bande : Alors comme ça, on veut jouer les malines ? Tu vas voir ce qui t’attends…
Jeune fille : Ahhhhhhhhhh ! Lâche-moi, sale brute ! Dégage tes sales pattes de là ! A l’aide !
Le bruit s’entendait du toit des immeubles. Justement, un jeune garçon âgé, je dirais, de 17 ans se baladait sur le rebord. Il avait, ne plus les yeux bandés par un foulard avec des signes tribaux…Ce même jeune homme était assez séduisant, il avait des cheveux blonds assez longs qui dégageait une telle brillance. Entendant ces cris, il sauta du toit pour arriver sur un autre toit, plus bat, celui-ci, puis il continua sur son élan. Arrivant enfin à terre, il se dirigea vers le bruit, et s’approcha de quelques mètres du jeune homme…
Jeune homme : Toi là-bas, lâche-la !
Chef de bande : T’es qui toi pour me donner des ordres ? Ne bouge pas bébé, j’vais me le faire…
Il s’avança vers le jeune homme et voulu lui mettre un coup de point de la main droite dans sa tête, mais le jeune garçon l’intercepta et lui tint le poignet, exerçant une poigne d’au moins 45 kilogrammes. Il releva la tête de façon à ce que l’on puisse apercevoir ses fins yeux…Il régnait désormais une atmosphère terrifiante. Le chef de bande recula de quelques pas, prit de peur, il bégaya ces quelques mots :
Chef de bande : Des…Des yeux rouges…Ils sont rouges…Tout rouge…Mister Corpse ? Désolé…Je…Je m’excuse de vous avoir importuné…
Il commençait à rebrousser chemin mais quand il se retourna, le jeune homme était devant lui, de nouveau, il le prit de haut et lui adressant un petit sourire machiavélique, lui dit doucement à l’oreille :
Mister Corpse : Je te préviens sale vaurien, si tu oses encore une fois retoucher une jeune fille ou quiconque d’autres dans mon quartier, et que je l’apprends…Je te tues…
Le jeune homme le regarda en disant, très confusément :
Chef de bande : D’accord, d’accord. Les mecs, on s’en va, vite, vite…
Ils partirent, paniqués…Il se retourna ensuite vers la jeune fille, franchement jolie. Il inspecta si elle allait bien, la regardant assez profondément. Et il pût constater qu’elle n’avait aucune blessure.
Mister Corpse : Bon je vois que tu n’as rien, je te laisse donc, car j’ai à faire.
Jeune fille : Soit, merci, et au revoir.
Elle s’avança dans la rue sans même jeter un regard derrière-elle
voilà le début...