Etude, oui, pour de vrai

La porte de la salle de permance s'ouvrit silencieusement. Ayase entra, croyant tomber sur un prof et des élèves mais, vide... La salle était vide... Tant mieux, Ayase pourrait pratiquer son activité en silence et sans gêne quelconque. Elle s'avança à travers les bancs et s'installa à une table, contre le mur. Pour une fois, elle avait revétu l'uniforme, tentant de redevenir une élève modèle, pour son bien. mais, elle avait malgré tout tenu à raccourcir la jupe et à entre-ouvrir quelque peu le chemisier, qu'elle tenait le moins du monde à rentrer, de quelques boutons et de laisser sa cravate mal nouée. Elle était déjà vêtue comme le règlement le lui indiquait, elle pouvait au moins le faire comme elle le désirait.
Elle posa son sac à terre et se laissa tomber lourdement sur sa chaise, les bras allongés en avant sur le banc, le front contre le bois froid.
Les fenêtres de la pièce était ouverte. Ayase put voir de sa place qu'à l'horizon se déssinait les hauts bâtiments de Tokyo. Sa maison si trouvait, plus loin, derrière dans les vielles banlieues huppées, face au district financier où son père travaillait. Un léger courant d'air s'engouffra dans la salle, raffraichissant, dont Ayase profita pleinement. Parce que même si nous étions seulement au début du Printemps, il faisait déjà assez chaud. Il faut dire, le climat se réchauffait à une allure étonante depuis quelques années.
Ayase posa ses mains sur sa jupe, tripotant les pants de celle-ci et réfléchissant. Ces derniers temps, elle trainait seule dans les longs couloirs de l'école. Elle n'avait jamais été du genre à rester en groupe, mais encore moins depuis quelques semaines. La fin de l'hiver l'avait fortement diminuée niveau moral et motivation. Elle avait si plus reçu une convocation à transmettre par courrier à ses parents, ses notes avaient beaucoup chuttés, étant donné qu'elle sèchait tous ses cours et les avertissements pleuvaient en masse. Elle devait se resaisir sinon elle serait dans l'obligation de retourner vivre dans la demeure familiale et c'était ce qu'elle désirait le moins...

Elle sortit ses cours et quelques notes -quasi inexistantes d'ailleurs- ainsi qu'un bloc de feuilles vierges, avec en tête, l'idée de ré-écrire au propre toutes ses synthèses pour mieux se les ancrées en mémoire, ce qui serait difficile, vu qu'elle n'avait pas vu la matière, n'étant pas présente aux cours. Plusieurs fois elle se découragea, mais elle ne devait pas baisser les bras, ses années futures étaient en jeu et elle souhaitait finir le plus vite possible sa scolarité. Elle resta une heure à réviser les diverses matières, science et math notamment, pour lesquelles elle avait le plus de difficulté.
Elle s'apprêtait à commencer chimie lorsque la porte de la salle s'ouvrit, comme elle l'avait fait une heure auparavant.

Il est dur de perdre quelqu’un de cher surtout de cette façon. Beaucoup de personnes ont dues mal à accepter que cette personne soit disparut dans n’importe qu’elle circonstance – La vie a ses hauts et ses bas, c’est ainsi et on ne peut rien y changé.

L’établissement Chuugakkou Aka avait perdu sa directrice et pas mal d’élèves sont partis suite à se départ et permit eux l’un des derniers à avoir côtoyer intimement la directrice, un dénommé Shaolan Riomoto, qui dès le départ de sa bien aimée est parti à son tour sans rien dire à personne même pas un mot, laissant une partit de sa vie derrière lui.

Les mois ont passé depuis et l’établissement Chuugakkou Aka n’a pas trop perdu de son prestige mais malheureusement l’effectif au niveau des élèves à énormément baisser depuis et n’a guère augmenté depuis.
Mais ce n’est pas la fin de cet établissement qui a en moyenne un pourcentage de réussite au passage aux université les plus côtés du Japon est de 62 % qui est dans le top cinq des moyennes les plus hautes du Japon, ce qui n’est pas rien.
Le temps change et un nouveau souffle pour cet établissement, va le re-conduire au sommet de sa gloire perdu en quelques mois.

Donc retournons dans la salle de permanence où une jeune femme essaye d’apprendre et s’instruire et quel meilleur choix que la physique ? Mais la porte s’ouvrit qui la stop dans sa lancée.
Donc la porte s’ouvre et un jeune homme aux cheveux noir, le visage froid sans aucune expression apparente. Il semble ne pas avoir remarquer la jeune femme mais cela ne tarda guère, en un coup d’œil vers la direction de cette jeune personne lui suffit pour la voir et lui attiré son attention.

Le jeune homme était habillé en uniforme de l’établissement mais il porte un badge avec marquer dessus : « Surveillant ». Un surveillant en uniforme ?! On aura tout vu mais celui-ci semble assez attaché à cet uniforme, puis c’est son droit de s’habiller comme bon lui semble après tout rien n’empêche les surveillants de porter un uniforme tant qu’il mette un badge pour dire qu’ils font partis aux membres du personnels.
Tout en la regardant, il posa délicatement son sac qu’il portait sur l’épaule, il avait inscrit dessus : « Speed Fire » avec des sortes de tags puis après avoir fait ceci il adressa son premier sourire à la jeune femme et des mots sortent de sa bouche :
« - Ca faisait longtemps, n’est pas Ayase-sama ? »

Une personne entra. Ayase lança un regard furtif dans la direction du venu, sans y porter grande attention, et reporte toute sa concentration dans sa dure labeur qu'elle tente désespérement d'accomplir, aussi difficile pour elle cela soit-il. Elle doit réussir, elle doit parvenir à ses fins, pour son bien, pour sa survie mentale, rester une année encore ne la laisserait de marbre, elle déteste être sous l'autorité d'autrui et autant des adultes.
Elle prend sa tête entre ses mains et soupire une fois encore. Elle peut tourner les choses comme elle le veut, elle ne comprend pas. Elle qu'on disait douée en science et mathématique étant petite... Quoi qu'il en soit, elle mord sur son crayon, sans comprendre mot de son énoncé et ouvre son référenciel, peu enthousiaste.
Elle entend le jeune homme, qui vient d'entrer, marcher entre les rangées de bancs et s'approcher. Elle n'y porte pas grande attention et tente de donner toute son énergie à la compréhension de l'exercice. Il lui faudrait presque refaire des schémas sur la réfléction tantt ses lacunes sont grandes.
Elle s'apprête à écrire une définition quand on s'adresse à elle. Son sang ne fait qu'un tour. Cette voix... Elle l'a connait... Elle lève la tête et porte son regarde en direction du jeune homme qui était arrivé à sa hauteur. Et c'est avec des yeux ébahis qu'elle l'observe de haut en bas. Si longtemps qu'elle ne l'avait pas vu. Certains souvenirs ressassent et traversent son esprit. C'était le seul avec qui elle se soit réellement amusé jusqu'à présent. Elle bégaye des mots incompréhensibles avant de se concentrer et de reprendre ses esprits. Elle reprend son assurance perdue durant quelques secondes et entreprend de prendre à son tour la parole.

"Shaolan-kun?! Mais... Depuis quand as-tu les cheveux noirs?! Je ne t'avais même pas reconnu, tu as beaucoup changé."

Un vif sourire parcour son visage. Au fond, il n'a pas changé que ça, juste physiquement, mais il lui porte toujours ce respect qui devrait être inversé, étant donné qu'elle est plus jeune que lui, étant de deux an sa cadette.
Elle remarque alors l'insigne qu'il porte... Surveillant? Ainsi il a finit ses études et reprend un certain flambeau... Elle le jalouse quelque peu, elle aimerait pouvoir réussir ses examens et compendre... Elle ferme les yeux et baisse la tête en signe de respect.

"N'est-ce pas plutôt moi qui devrait vous appelez ainsi, Senpai?"

La jeune femme qui semblait enfin essayait de se concentrer sur son exercice de physique, semblait ne pas avoir tout de suite réagit au parole du surveillant, qui se trouvait en face d’elle assis à moitié sur table.
Puis au bout d’un certain moment elle prit enfin conscience qu’on lui avait parlé et qu’elle connaissait cette voix, donc après avoir lever les yeux en direction du jeune homme et de l’avoir scruter de bas en haut, elle lâche au début des sortes de bruits qui ressemblaient à des sortes mots incompréhensibles, puis elle réussit à ordonner ses mots et à prononcer une phrase correcte.

« Shaolan-kun ?! Mais... Depuis quand as-tu les cheveux noirs ?! Je ne t'avais même pas reconnu, tu as beaucoup changé. »

Alors ce jeune surveillant aux cheveux noir n’était qu’autre que Shaolan Riomoto, l’élève le plus populaire du lycée enfin était car il n’est plus élève maintenant.
En tout cas elle semble heureuse de le revoir, elle qui semble bien seule depuis quelques mois, le fait de revoir une personne qui l’avait marqué peut lui faire que du bien.

Et oui ces deux-là ont un statue semblable, ils sont tout les deux très populaires dans l’établissement et sont considéraient comme les deux personnes les plus beaux de celui-ci. Mais ils ont réussis à garder malgré tout la tête froide enfin Shaolan plus que Ayase.
Ils s’étaient rencontré et s’étaient bien amusé à se draguer mutuellement mais après ils se sont perdu de vue et continuer leur chemin respective chacun de leur côté. Et les voilà qui se retrouvent par hasard dans la salle de permanence de l’établissement – Peut-être que ce n’est pas un simple hasard ? Peut-être … Mais cela n’est pas très important en ce moment !

Donc Ayase lui a posé une question que le jeune homme ne tarda à répondre :

« - Enfin maintenant je suis inscrit sous le nom de Iwakura, Kazu Iwakura. Après mon départ pour l’Europe, j’ai décidé de changer de vie donc j’ai changé de nom de famille et de prénom. Puis il y a trois semaines je reçois une lettre de l’établissement qui m’informe que j’ai été accepté dans le membre du personnel en tant que surveillant. J’ai donc accepté et voilà. Il s’arrêta quelques instants pour lui faire un sourire amical puis reprit. Ah oui ! Tu dois savoir que j’aime bien me teindre les cheveux, et pourquoi noir ? Bah parce que j’aime bien le noir et que j’avais jamais essayer de les teindre de cette couleur. »

La jeune femme semble avoir complètement oublier son exercice de physique et écoute attentivement le jeune homme. Dès que celui-ci a fini, elle reprit la parole aussitôt.

« N'est-ce pas plutôt moi qui devrait vous appelez ainsi, Senpai »

Un petit sourire amusé se dessine sur les lèvres de Kazu après que son amie est dit cette phrase qu’il ne tarde pas à lui répondre d’une voix avec une intonation ironique.

« Tu n’as décidément pas changé d’un poil, Ayase-chan ! »

Ayase sourit. C'était rester le même, avec une couleur de cheveux différente. Mais, était-ce resté le même sur tous les points?
Il avait donc changé de nom... Pourquoi? Que s'était-il passé pour qu'il en vienne là? D'un côté, ça ne la regardait pas. C'était d'ordre personnel et elle n'avait pas à s'en mêler. Même si la curiosité la piquait momentanément.
Par contre, il était resté aussi mignon.
Elle se remémora les nombreuses embrassades interminables, leur rencontre au rotenburo, c'était bien loin tout ça désormais. Il était surveillant, elle, toujours élève, mais en grosse difficulté, n'assistant même pas aux cours... Mais un point commun était resté. L'attirance et l'envie que les gens leur portaient. C'était positif, et négétaif d'un côté. On ne progressait que rarement dans des relations avec pareil réputation et comportement. Mais peu importait après tout, de ce que pensaient les gens, Ayase l'avait apprit durant de nombreuses années d'exclusion, l'agoraphobie et la blémmophobie aidant... D'ailleurs, elle pensait s'en être totalement débarassée. Juste quelques séquelles qui parfois remontaient à la surface, quelques crises, devenues assez rares dernièrement, mais d'un côté, elle ne cotoyait plus personne et restait seule avec son lecteur de fichier média la pluspart du temps. Ou bien, elle se plongeait dans ses livres d'études pour finalement s'endormir dessus, n'ayant jamais fini le premier chapitre... C'était des situations assez cocasses qui faisaient rires de loin, mais aux quels, au final, personne ne portait grande attention et importance.
Elle s'était évadée quelques minutes, laissant Shaolan, désormais Kazu, seul sur terre. Elle reprit un sourire audacieux et une idée lui traversa l'esprit. Elle voulait ramener le passé au présent et jouer, revivre quelques moments, s'amuser comme elle ne l'avait plus fais depuis bien longtemps.
Elle se redressa sur sa chaise et s'approcha de Kazu. Elle passa sa main derrière la nuque du jeune homme pour approcher son visage du sien. Son autre main la tenait appuyé en presque équilibre sur la table. Elle ferma les yeux et posa ses lèvres sur les siennes avec plaisir. Cela faisait si longtemps... Une légère chaleur s'émana dans son corps, ça faisait trop longtemps qu'elle n'avait plus pris plaisir à embrasser aussi simplement du monde un garçon qui en vallait la peine. Elle passa sa langue sur les lèvres de Kazu pour forcer le barage et avoir libre accès à sa bouche.

Le jeune homme se rendit compte que la jeune femme était devenue bien rêveuse. Elle l’avait laisser comme seul dans la salle de permanence, il faut dire que la physique n’était que quelque de très passionnant pour Kazu en tout cas mais cela ne lui empêcha pas d’avoir son examen de fin d’année au la main avec une mention bien, il aurait peut avoir la mention très bien mais lui et les cours s’est pas une grande histoire d’amours, il avait failli être renvoyer à cause de ses absences mais vu qu’il a de bonnes notes quand il y était cela ne la pas trop pénaliser.

Kazu qui est perdu à son tour dans ses pensées n’avait même pas remarqué que Ayase vient de redescendre sur terre. Il a le regard assez vide mais il sentit quelque chose sur derrière sa nuque et une autre chose qui vient de ce déposer sur ses lèvres. Il descend le regard pour voir et vit le visage de Ayase avec les yeux fermés qui l’embrasser et cette pensée vient aussitôt : Elle n’a pas changé d’un pouce, c’est certain !

Ils restèrent collé l’un à l’autre pendant quelques instants, cela faisait si longtemps qu’il n’avait pas reçu un tel baiser et qui avait un avis fou de le rendre.
Puis Ayase décolle ses lèvres de celle de Kazu est commencé à s’amuser avec sa langue en essayant d’ouvrir la bouche de celui-ci, d’ailleurs il avait remarqué que la jeune femme était presque en équilibre sur une main et une pensée malicieux lui vient à l’esprit.
Il pose doucement sa main sur la bras qui était derrière sa nuque et d’un coup sec il la fit lâcher prise sans lui faire le mal mais Ayase partit en avant et aller s’écraser la tête la première sur le calage de la salle de permanence. Mais Kazu a prévu ça aussi donc d’un geste et avec douceur il l’attrape et sans qu’on sache comme il la fait elle se retrouve dans ses bras et il lui sourit.

Après quelque regard intense, il la pose sur une table, elle se retrouve donc assise sur une table et sans rien dire Kazu dépose ses lèvres sur celle de Ayase et prend la tête de la jeune femme avec délicatesse dans ses mains.

Ce baiser, ce baiser qu’il avait tant attendu. Ce plaisir d’embrasser, qu’il ne pensait plus revoir ou ressentir mais maintenant il a reprit conscience le bien fait d’embrasser et d’en prendre goût.
Voilà le tombeur de l’établissement Chuugakkou Aka est de retour !

La jeune demoiselle profita du long baiser qui ne semblait pas finir. Elle ne reprit sa respiration qu'un court instant pour recommencer son jeu, inlassablement. Elle avait chaud au coeur et appréciait cette forte impression qu'elle ne savait définir. Elle en voulait plus, toujours plus, rarement satisfaite. Mais, elle n'eut pas le temps de combler ses maigres désirs que son bras lâcha et qu'elle se sentit partir en avant. Que s'était-il passé? Elle avait sentit qu'on l'avait poussée et fait dérapée, mais qui d'autre dans la salle appart Kazu aurait-il pu le faire? Elle n'eut pas le temps de regarder le jeune homme qu'elle se vit déjà approcher du carrelage froid de la salle en quelques secondes, même pas. Mais alors qu'elle croyait à se cogner violement la tête, elle se sentie soulevée aussi légèrement qu'une plume.
C'était des bras qui la soutenaient, les même bras que ceux qui l'avaient fais tomber. Elle lança un regard de reproche au surveillant qui, lui, souriait. Elle avait vraiment cru se casser la figure et la peur l'avait prise un moment. Elle retrouvait son souffle qu'il la posait sur une table. Elle n'eut pas non plus le temps de lui faire la morale que déjà, il posait à son tour ses lèvres sur les siennes. Elle n'aurait même pas l'occasion de le réprimandé car elle savait bien que d'ici moins de cinq minutes elle aurait déjà oublié et de toutes manières, il était déjà pardonné. Elle sentit également les mains du jeunes hommes prendrent son visage, elle savourait avec délice. Mais ce n'était à nouveau pas suffisant. Elle passa ses bras derrière la nuque de Kazu, une nouvelle fois, pour se tenir plus près de lui et se serrer fort contre lui. Elle força aussi le barrage des lèvres pour venir jouer avec la langue du jeune homme et approfondir le baiser, c'était certain, un jour, elle mourrait asphyxiée.

C’est une journée ensoleillée, le peu d’élève de l’établissement de Chuugakkou Aka était dehors dans le parc enfin presque tous ! Un ancien élève devenu surveillant et une élève de sixième année est dans la salle de permanence, ils sont entrain de s’amuser un peu au jeu interdit enfin ils commencent.

C’est deux-là n’ont pas peur de ce faire découvrir par quelqu’un qui entre par mégarde dans la salle ! Mais cela ne leurs importes peut qu’on les voit dans les bras l’un de l’autre, c’est leur caractère respectif, ne se soucier que d’eux et de personne d’autre !

Kazu ne pensait pas que le fait de ne plus embrasser avec autant de vigueur lui est manqué autant, depuis que Chi est partit, il est tombé dans une grosse déprime, il ne sortait plus de sa Studio. Il avait l’impression que la vie s’était arrêtée et qu’il ne pourrait plus rebondir pour retourner sur ces pattes cette fois. Mais il a finalement décidé de partir en Europe avec l’espérance d’oublier cette période de sa vie.

Là-bas il roulait, il roulait et volait de toit en toit toute ses journées. Dans le monde des StormRiders européens il circulait une rumeur qu’un inconnu du circuit européen qui venait d’Asie avait marché sur les traces d’un certain Shaolan Riomoto. Il s’appelle Kazu Iwakura, un StormRider avec un talent pour les A.T imaginable, il est plus connu dans le milieu sous le nom de « Speed Fire ».
Shaolan avait décidé de tout changer et le voilà une autre personne qui ne demande qu’à vivre enfin en paix avec soit même.

Kazu tout en embrassant Ayase, pose son regard sur son sac qui avait posé quelques minutes au par avant, il le regarde avec un regard intense et dit d’une voix faible en embrassant la jeune femme (balèze le mec respect u_u !) :

« - Etre plus fort … Toujours plus haut … Quoi que je fasse je sais que ma place n’est pas sur terre mais dans le ciel … J’ai beau monté toujours plus haut, j’ai … J’ai toujours l’impression que je dois aller encore plus … » Il s’arrête sur ce mot et d’eux même pour le baiser, il décolle ensuite ses lèvres de celle de la jeune femme, il fixait toujours son sac avec la même petite flamme ans le regard, la flamme du Speed Fire !

Mais le jeune homme vient de se rappeler qu'il avait une jeune femme dans les bras qui le regarder avec envie. Et il eu une drôle d'impression en la regardant, il avait l'impression de voir la lueur de celle qui a occupé son coeur pendant ces derniers mois, il vient de se remémorer tout les moments qu'il a passé avec Chi et sans que son esprit demande à son corps, il embrasse Ayase et commence lui enlever sa cravate.
Quand celle-ci fut par terre, il fit d'enlever les boutons de la jeune femme tout en l'embrassant. Puis il s'arrête et la regarde dans les yeux avec un regard perçant, il n'avait jamais eu aussi envie de faire l'amour depuis que Chi est parti !

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