Demande de chambre NUMBER TWO

De même que Midô Ban, en sa qualité de prof de Maths, fut remettre de l'ordre dans les dortoirs féminins. Galanterie oblige, Ladies first... Ban se mit en route vers les dortoirs destinés aux mâles. Ceux-ci étaient nettement moins bien entretenus... On se demande pourquoi... Ban déchira comme il l'avait fait auparavant les pages du registre des chambres qui étaient écrites et écriva de sa plus belle écriture de cochon, pattes de mouche ou quoi que ce soit d'autre...

Répartition des chambres du dortoirs des garçons de Chuugakou Aka:

Chambre 1 : Taku Shimmen et Hisako Hondô
Chambre 2 : Yami Uzumaki et Shinichi Uchiwa
Chambre 3 : Ijichi Lial et Edward Elric
Chambre 4 : Kenta Nakashima et Ginji Mitsuhide
etc...

[Pour demander une chambre, et je rappelle que c'est obligatoire (sauf demande spéciale), il suffit de poster un petit post rapide ci-dessous et l'un des admins ou moi-même vous remettra la clé de votre chambre, qui est à partager avec un collocataire. Merci]

Hisako était toujours dans cet état critique et inquiétant… Cela faisait déjà plusieurs jours que sa main était engloutie et immobilisée sous de nombreuses couches de bandeau et un plâtre. Les gens se demandaient ce qu’il avait pu avoir pour se retrouver avec une main pareille… Il était vrai que ce n’était pas tous les jours que l’on croisait quelqu’un à la main couverte de bandages et d’un plâtre. Parfois, une personne ou un groupe de gens s’approchait du jeune garçon, lui demandaient ce qu’il avait à la main. L’enfant se contentait d’accélérer le pas en jetant un regard noir à ces interlocuteurs. Quand ils insistaient, il les bousculait et fuyait. Dans ces moments-là, il entendait des réflexions peu aimables et était traité de fou. Mais ce n’était pas cela qui l’empêchait de repousser les gens trop curieux.

A vrai dire, sa main ne guérissait pas. A chaque fois qu’on est blessé, on ne doit pas toucher la blessure, on doit bouger le moins possible le membre cassé… Hisako ne le bouge pas vraiment. Mais il le frappe. Il donne des coups à sa main, provoquant ainsi une douleur fulgurante et à la limite du supportable. Limite qu’elle n’avait pas dépassée et qu’elle ne dépassait jamais. C’était une douleur assez puissante pour cacher les autres, assez douce pour être supportable. Et donc le jeune garçon la provoquait, pour ainsi oublier la tristesse qui, elle, était insupportable.
L’infirmière lui avait demandé de venir régulièrement, pour voir comment évoluait l’état de la main. Il ne venait pas la voir. Il savait qu’elle le réprimanderait en apprenait qu’elle était toujours broyée, et qu’elle finirait par l’amener dans un hôpital pour blessés physiques. Et là bas, les médecins décideraient sûrement dans le mettre dans un hôpital pour les blessés mentaux. Seulement, quand on entre dans un endroit de ce genre, c’est pour y rester longtemps… Trop longtemps… Et parfois toujours.

Néanmoins, à condition d’être des objectifs de qualité, on pouvait dire que l’enfant avait de la chance. Il avait blessé sa main droite. Or, il était gaucher. Il pouvait donc dessiner et écrire à tout loisir, en n’étant quasiment pas dérangé par sa blessure. Et des dessins, il en avait fait ! Si des psychiatres les observaient, ils se creuseraient la tête et voudraient Hisako pour client, au moins pour quelques séances avant de l’envoyer dans un asile. Car ces dessins étaient, pour la plupart, sombres et décrivaient un paysage inquiétant.
Sur une feuille était dessinée une croix religieuse rouge, dégoulinant de sang. Le fond était noir et profond.
Un autre dessin représentait une église aux tours inquiétantes, surmontée de la même croix religieuse. Autour, l’herbe était sombre. Le ciel était noir comme l’encre, et rien n’y brillait.
Une œuvre, faite de crayons gras et de pastels, représentant un cimetière tellement vaste qu’on ne voyait pas le bout. Les tombes étaient éclairées par une lune orangée contrastant avec le ciel noir.
Inutile de chercher plus loin ; Hisako pensait à la mort et à tout ce qui s’y approchait.

Après avoir traversé une courte allée, il était entré dans le bon bâtiment et gravissait à présent les escaliers. Il prit le couloir qui menait aux dortoirs des garçons. Une odeur de peinture prit alors le garçon qui pinça son nez. Les murs avaient été repeints… Les gens ignoraient probablement cette odeur, mais pour Hisako il n’y avait peu de choses plus mauvaises que cela pour son nez. Il traversa le couloir, jusqu’à arriver à sa chambre. Il fouilla alors sa poche, à la recherche de sa clef. Qu’il ne trouva pas. L’enfant regarda la porte d’un regard d’incohérence. Il essaya de l’ouvrir mais elle était tout simplement verrouillée. Ce ne fut qu’après que le jeune garçon comprit soudainement : il se souvint avoir dû rendre sa clef. Il devait donc la reprendre… Il regarda à droite, à gauche. Et remarqua alors un homme assis sur une chaise, tenant une feuille ainsi qu’un gros trousseau de clefs. Hisako s’approcha de l’humain, le regarda silencieusement. Les yeux de l’enfant glissèrent lentement vers le trousseau de clefs, pour bien faire comprendre à l’homme ce qu’il devait faire.

Avec son sac à dos et sa valise de 20kilos, il n'y avait pas de mal à savoir que Taku était nouveau dans le collège. Il arrivait lentement, ralenti par le poids de ses bagages. Il avait longuement cherché les dortoirs et avait finalement demandé à un adulte de lui indiquer le chemin. Il avait vraiment pas le sens de l'orientation. Enfin il arriva à bon port, il y avait déja du monde... Un petit garcon singulier et un autre homme assis sur une chaise derrière une table. Ca devait être l'homme qui s'occupe de la distribution des chambres. Taku fit quelques pas, posa son sac à dos et sa valise. Il se massa le bras droit, légèrement meurtri par l'effort et commenca à s'avancer vers les deux personnes présentes dans la salle. Il s'adressa à l'adulte:

"Salut,moi c'est Taku Shimmen. Je suis nouveau et en septième année. Je pourrais avoir une chambre please?"

Taku remarque qu'en fait le jeune garcon était là avant lui. Il ne se fit pas prier pour se taire et faire quelque pas en arrière, comme s'il avait rien dit. Ensuite il fit brièvement:

"Oups désolé. Fais comme si j'avais pas été là. Je repasse derrière."

Voila une bonne demi-heure que notre professeur de maths poireautait tout seul dans le hall du dortoirs des garcons. Il n'avait rien d'autre à faire que rester assis sur sa chaise derrière une table de salle de classe tagée. Il sifflotait pour passer le temps mais surtout pour couvrir les bruits insupportables de l'horloge et des oiseaux dehors qui commencaient à taper fort sur le système. Il faisait aussi tourner le stylo dans ses mains et le faisait parfois tomber, histoire de pimenter son attente... Mais au bout d'un moment il vit arriver un gamin... C'est un collégien lui. Non pas possible! Pourtant si puisqu'il s'avanca bien vers Ban, malgré son pas hésitant. L'enfant arriva et regarda GTB silencieusement. Ce regard le mit mal à l'aise. Puis les yeux du petit bonhomme se dirigèrent vers le trousseau de clé de sur le bureau. Que voulait-il? Les clés? Non celles-ci c'étaient les siennes. Il lui était inutile et impossible de lui donner. Ban ne comprit pas au début pour le garcon, mais une autre visite l'aida à régler ce petit problème...

En effet un autre individu fit son irruption dans la salle et contrairement à l'autre gamin il avait l'air bien plus vieux. Il était difficile à croire que ces deux garnements furent des élèves de CA... Enfin plus ne le surprenait maintenant. Le grand gaillard s'approcha de lui et dit:

"Salut,moi c'est Taku Shimmen. Je suis nouveau et en septième année. Je pourrais avoir une chambre please?"

Puis s'interrompant, il ajouta quelques mots à l'autre gamin comme des excuses. Il repassa derrière lui . Ban comprit que son heure était venu et que le travail qu'il attendait maintenant depuis 40 minutes aller a enfin commencer. Ban se leva prit dans une caisse derrière lui daux clés et nota sur un cahier le nom du premier et attendit le nom du deuxième - c'es-à-dire le gamin. Il tendit ensuites les clés aux garcons devant lui en disant:

"Tiens voila les deux premiers! Chambre 1. Tous les deux."

Journée mouvementé pour notre Yami !
Retrouvaille d un vielle ami,rencontre d une ravissante fille
scene romantique dans le parc et des reclamation d estomac pres de son casier...
Vivement la cafete !
Mais dabord Yami doit reglé quelques affaire histoire de s installé ares avoir deposé ses boukins dans son casier manque plus qu a deposé ses valises dans sa nouvelle chambres apperement le couloirs et vide et tres calme...
Ah ! enfin une personne !

<<Pourais-je avoir une chambres svp ?>>

Ca en devenait presque genant de demandais les clefs on aurait dis un sans abris qui demanderais charité vraiment pitoyable mais bon faut faire avec ce qu on a."C est la vie pas le paradis" comme dis la chason,chanson qu il n appreciais pas beaucoup dailleurs

*Chouette vivement ma chambres a moi ! héhé*

et direct apres la cafete c est qu il a faim notre Yami faut le comprendre le pauvre...

Une journée pleine de rebondissements... Shinichi avait rencontré une jolie fille, mais il ne voulait pas que ça aille trop loin, alors qu'elle par contre, oui ! Il l'a donc quitté un peu violemment et s'en est voulu... De plus, l'intermède avec ces flics... C'était lourd pour un premier jour ! Il en avait plus qu'assez... C'était vachement encombrant, indéniablement lourd comme situation... Heureusement, il revit un ancien ami; Yami. Tous ces évènements le bousculaient... Il pensa à nouveau à son père, à cause de lui, il était maintenant poursuivit par les flics. Du coup, il était agacé, il décida alors de "s'évader"... Il marchait sans but et arriva au niveau des demandes pour les dortoirs... Là, il vit Yami, il optait pour la chambre numéro 2; Sihinichi décida alors d'également d'y aller.

--Bonjour à tous.

Il fit un signede salut à tous... et se tourna vers Yami, lui fit un cin d'oeil puis se retourna:

--La même chabre que Yami s'il vous plait... C'est celui juste devant moi là ^^"

Distribution des chambres:

Chambre 1: Taku Shimmen et Hisako Hondô
Chambre 2: Yami Uzumaki et Shinichi Uchiwa

Lial marchait, aussi lentement que ses jambes le lui permettait dans les couloirs. Il se serait volontier allumé une cigarette, s'il l'avait pu, mais interdiction dans l'enceinte du collège... De quoi se mettre les nerfs à feu. De plus, les chambres n'étaient même pas mixte... Encore heureux, le collège l'était, lui, déjà, mieux que rien, on aurait pu tomber sur pire après tout.

Le jeune homme soupira. Peu enthousiaste. Il s'accouda contre le mur, portant sa main sur son front. Il avait une furieuse envie de sortir et d'aller se défouler sur une quelconque personne. Voir, de prendre une fille. C'était décidé, une fois sa chambre prise, il sortirait chercher quelqu'un avec qui passer du bon temps.
Il reprit alors son chemin, prenant les tournants des couloirs, sac à l'épaule, le regard dans la vide. Il se prendrait peut être bien quelques pillules aussi, histoire de faire passer le temps, de se sentir mieux. Il faudrait chercher après un revendeur, assez facile, il y en avait pas mal, la fraude, c'était la spécialité de pas mal de jeunes japonais. Et puis, Lial savait à qui s'adresser, avec le temps.
Il arriva enfin au lieu voulu. Le couloir des dortoirs des garçons. Il s'approcha d'un homme, assi derrière une sorte de comptoir, avec pas mal de clé suspendue au mur, derrière lui. Il le toisa du regard, de haut en bas, du moins, tout ce qu'il pouvait en voir, avant mettre ses coudes sur la "table" et de demander ce qu'il souhaitait.

"Je désirerais une chambre. Au nom de Ijichi Lial."

Chambre 1 : Taku Shimmen et Hisako Hondô
Chambre 2 : Yami Uzumaki et Shinichi Uchiwa
Chambre 3 : Ijichi Lial

Edward Elric, élève de septième année à Chuugakkou Aka, se dirigeait mains dans les poches vers les dortoirs. Voila plusieurs jours qu'il était dans ce collège et il n'avait toujours pas dormi ici. Un il n'avait pas eu le temps de venir reprendre une chambre dans le dortoir des garcons. En plus qu'est-ce qu'on l'embêtait à revenir en redemander une. >< Deux il n'en avait pas eu l'envie. Il avait fait suffisament de choses les derniers jours. Un retour fracassant, une rencontre torride et une journée avec des vieux potes. Les vieux potes qu'est-ce-que ca peut être sympa mais qu'est-ce que c'est chiant de devoir rester une journée entière à les entendre parler de trucs qu'on a pas vécu ni connu. Enfin ca fait toujours plaisir... Mais maintenant l'esprit d'Edward était occupé par autre chose que les bons souvenirs. Torride en effet la rencontre. A peine était-il revenu au collège qu'il rencontra à nouveau une charmante connaissance. Cette jeune et jolie fille occupait encore bien son esprit, lorsque Ed arriva dans le hall des dortoirs mecs... Il se s'était même pas rendu compte qu'il allait bientôt rentrer dans le bureau en face de lui. Il remarqua le visage de l'homme devant lui. Une tête d'oursin, apparemment ca devait etre un prof. Ed dit alors d'une voix distante et monocorde:

"Edward Elric, septième année. Pourrais-je avoir une chambre? Merci."

Chambre 1 : Taku Shimmen et Hisako Hondô
Chambre 2 : Yami Uzumaki et Shinichi Uchiwa
Chambre 3 : Ijichi Lial et Edward Elric

Il faisait beau aujourd'hui... la nature venait de s'éveiller laissant apparaitre les jeunes pousses de bourgeons des cerisiers. Le matin ne pût échapper au fatidique brouhaha quotidien qui venait envahir l'espace. L'herbe du jardin grouillait de paquerettes si bien qu'il ressemblait à un champ recouvert de neige. Le chant des oiseaux se faisait entendre également dans le lointain paysage que celui-ci n'aurait pu être possible de définir d'ou il pouvait s'étendre. A travers les fenêtres du couloir de l'établissement, la clarté du soleil laissait les rayons palper la peau nette du jeune homme qui marchait en quête d'une chambre libre. L'air curieux, il lui prenait souvent de regarder à droite et à gauche pour observer les évènements intéressants qui côtoyait son entourage. Depuis une longue traversée, il avait rencontré à peine quelques étudiants qui sortaient prendre l'air libre dans la cour du batiment situé à quelques mètres d'ici. Les apparences étaient parfois bien trompeuses... une fenêtre donnait sur le spectacle et Kenta ne put resister d'y jeter un rapide coup d'oeil. Bien plus d'une centaine d'élèves se trouvaient là, au-dehors. Les garçons préféraient s'amuser au sport collectif du football, tandis que les filles papotaient des choses plus ou moins secrètes entre elles. Plus loin, une scène d'un couple assis sur un banc, se tenait dans les bras à s'embrasser chaudement devant le public. Mais le japonais ne préféra pas perdre d'avantage de temps. Les réservations des dortoirs étaient limités à un horaire stricte, et il n'était pas question pour le jeune homme de dormir dans la rue. En tournant à nouveau un angle du couloir, il reconnut la fameuse porte des douches mixtes, ornée de gravures tout aussi mystérieuses qu'elles en avaient l'air. Elle n'avait pas changé d'emplacement à vrai dire. Il se souvient qu'il avait examiné avec acharnement les dessins représentant une femme et un homme, tous deux dénudés, qui se lavaient avec ferveur sous une pluie fines de goutelettes d'eau. Dans un couloir devenu plus étroit que le précédent, il n'aperçevait que des portes à perte de vue. On entendait seulement le résonnement de ses pas qui marchaient contre la moquette, mais une discussion au loin étouffa le bruit. Deux jumelles brunes conversaient là, adossées contre le mur de droite. L'une était petite avec des cheveux courts remontés en tresse tandis que l'autre dépassait largement sa soeur et avait laché ses longs cheveux, venant à toucher ses épaules. Vêtus de débardeurs, de mini-jupes qui laissait les jambes vers l'extérieur et de bottes noires en cuire, elles tenaient dans chacune de leurs mains un sac de cours. Quand elles aperçurent le jeune homme, un léger sourire s'esquissa sur leurs lèvres. Il passa tout juste à côté, à l'allure bien plus grande que ces demoiselles puis persista dans le droit chemin, mais avec inquiétude, ne trouva pas l'entrée des réservations. Il s'arrêta un moment, fit un demi-tour sur lui même puis se gratta la tête, cherchant à tout prix la chose qu'il convoitait. A quelques mètres de lui, les filles étouffèrent un petit rire amusé en fixant le regard perplexe de l'étudiant. Il était pourtant sûr que l'entrée se trouvait dans cette partie, mais ici, tout se ressemblait.

« Vous cherchez quelque chose ? » demanda la plus grande d'une voix agréable.

D'un sursaut, l'homme avait le coeur qui battait plus vite que la normale. A vrai dire, cela lui faisait tout bizarre qu'une femme lui adresse la parole. Il n'avait jamais eu aucune relation féminine de sa vie, du moins, il n'avait pas de petite amie, et ça ne l'interessait pas plus que tous les autres garçons. Il se contenta de se calmer un peu. Ce n'était pas très correct de jouer le timide.

« Oui, euh... je cherche l'entrée des réservations du dortoir ! j'étais pourtant sûr que c'était ici. »

Elles se regardèrent en face à face un moment puis un petit rire caché se déclencha entre elles. La plus petite s'interposa.

« Oh, excusez-moi, c'est juste ici ! » fit elle, en montrant du doigt la porte à laquelle elle s'était appuyée.

Kenta n'en croyait pas ses yeux. Finalement, il avait eu plus de peur que de mal. La porte avait été en vérité caché malencontreusement. Là, il reconnaissait bien la plaque de cuivre fixée dans le bois qui signifiait "Réservations de chambre". Les filles s'écartèrent puis s'excusèrent de leur maladresse et partirent. La plus grande s'était retournée pour jeter un dernier sourire vers le garçon. A cet instant, il avait rougit un peu mais s'efforça de sourire lui aussi, jusqu'a les voir disparaître au coin de l'angle. Il n'avait jamais vu de filles aussi aimables et mignonnes dans l'établissement. Il ôta toutes rêveries de son esprit, se concentra à de choses plus sérieuses et frappa à la porte.

En entrant, il constata que la pièce avait été rénovée. La décoration n'était plus la même lorsqu'il s'agissait de la tapisserie, des meubles, des plantes, des tableaux ou de tout autre chose qui l'attirait à ses yeux. Le soleil laissait toujours pénétrer sa lumière par la fenêtre située derrière l'accueil. Il ferma delicatement la porte derrière son dos, et s'avança en direction du bureau ou se tenait un jeune homme fort bien gaillard. D'une voix précise et directe, il effectua sa demande.

« Bonjour ! je suis Kenta Nakashima, élève de 7° année. Avez-vous une chambre de libre s'il vous plait ? »

Chambre 1 : Taku Shimmen et Hisako Hondô
Chambre 2 : Yami Uzumaki et Shinichi Uchiwa
Chambre 3 : Ijichi Lial et Edward Elric
Chambre 4 : Kenta Nakashima et Ginji Mitsuhide

Invité

[Poste légèrement, voir très en retard, imaginons qu'il date de l'entrée de Seikyo ;P]

Seikyo, portant son sac sur le dos, avait finalement eut raison de ses longs couloirs blancs qui séparaient l'établissement en une multitude de chemins allant dans toutes les directions. Face à la porte "Dortoirs des Garçon", le jeune homme resta là, sans bouger, encore un peu indécis... Etais-ce bien ce qu'il faisait? C'était pourtant évident qu'il allait se faire prendre... Quelqu'un allait forcèment le reconnaître, et à ce moment, tout sera fini pour lui... Mais apart ici, où allez? Résolu que ce n'était que le dernier choix qui lui été proposé, Seikyo ouvrit la porte du dortoir et oublia toutes idées de quitter l'établissement. Il arriva dans un long couloir où se trouvaient à gauche et à droite des portes portant un numéro. Seikyo ne fit pas attention aux autres jeunes qui se trouvaient là, remarquant très bien que certain d'entre d'eux le regardaient déjà d'un drôle d'air... Le jeune homme remarqua alors une personne, ce n'était pas en élève en tout cas, et le bloc-note qu'elle portait à la main voulait très certainement dire qu'elle gêrait les chambres. Seikyo s'avanca alors vers le Monsieur, et d'une voix plate demanda:

-Bonjour... ce serait pour une chambre... Seikyo Isshoo...

Au fond de lui, le jeune homme éspèrait pouvoir avoir une chambre plutôt seul... Quoi que c'était idiot de vouloir cela, apart se mettre de côté dès le départ, cela ne ferait pas grand chose. Et Seikyo devait essayer de se faire remarquer le moins possible... Cette d'idée de solitude s'échappa alors vite et le jeune homme se mit en tête de se faire des amis... Y arrivait-il? Peut être... Le jeune homme fut alors sortit de ses pensées par la personne qui lui indiquait alors désormais sa chambre...

Ginji, qui quittait a l'instant la demoiselle a la jupe carrelé, dont il avait oublié le nom, se ramenna au dortoir que lui avait montrait la femme de l'acceuil. Toujours avec son gros sac de fou, et son arc dans la main, il commencait a se sentir très, très lourd. Il espèrait vivement que l'acceuil soit sympa, avec des dames en bikinis qui lui ouvraient la porte en lui disant que si il avait beoisn elle étaient la pour le servir... mais il révait, et il le savait. Entrant dans le couloir, il appercu un mec qui rentrait dans une des chambres. Il se dit qu'il devait être au bon endroti, mais rien ne sembalit le confirmer. Il passa au devant d'une pièce, puis revint, et vit une dame, qu'il n'avait jamais vu avant, qui tenait un registre. A première vu elle l'attendait, mais il n'en savait rien. Il entra dedans, et salua la dame, et posa son sac délicatement, même si l'envie lui prit de le balancer et de gueller un coup^^ Il s'asseya a la demande de la demoiselle, et commenca a patienter. La dame rechercher quelque chose dans ses cahiers, mais sans succès... Il y avait quelque chose par terre, et Ginji se pencha pour le ramasser. Il regardait a peine l'envelloppe que la femme lui cria dessus :

"Non mais, vous ne savez pas qu'il n'est pas permis de piquer les affaires des autres dans cet établissement? Rendez moi ca!"

Ginji docilement, rendit l'envelloppe a la dame, pourtant avec une expression meutrière dans le visage. Il pensa un instant * Et bah, ca commence bien...* Il s'était mis a se présenter pour que la dame connaisse un peu qui il était, a la demande de la pionne, dirait on :

"Je m'appelle Ginji, Mitsuhide, j'ai 16 ans le 31 de ce mois. Je suis en 6ème année, et je suis arrivé ce matin a peine. On m'a dit de vous voir, mais j'étais perdu, alors je suis désolé du retard occasionné."

Mais la dame ne sembalit pas satisfaite de ses escuses, alors que pour un fois, Ginji était sincère, et elle lui répliqua méchemment :

"Et bien, vous êtes vraiment une lumière. Arriver en retard le premier jour de votre arrivé ici, c'est très malin! J'en parlerais la directrice, ou enfin a la directrice adjointe, Madame Harada doit être encore souffrante (mon oeil oui!!) En attendant je vous donne ces clefs, ce sont celle de la chambre 4. Vous êtes avec un certain Nakashima, Kenta je crois. Tennez vous bien, ou ca finira mal pour vous..."

Voila, Ginji était repéré en un rien de temps. Pas doué, et encore non content de s'être fait repèrer, il demanda a la dame :

"Escusez moi, mais mon sens de l'orientation me fait défaut.... C'est ou?"

La dame lui montra du bout de son doigt dodue, et Ginji y alla. Entrant, il posa ses affaires et s'endormit gentillement...

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